Le Journal de Pochikalaan
sur Chez Demehet au format (158 Ko)
Avant propos : Plus que de révolutionner la littérature française, les pages qui suivent entendent être un récit fidèle des péripéties de quelques héros en un monde nommé Glorantha. Cependant, encore faut-il s'entendre sur le sens du mot « fidèle ». C'est pourquoi l'auteur tient à préciser que certains passages, tant pour des besoins d'écriture que de cohérence du récit ont du être un peu « revu » par rapport aux faits qui furent réellement joués. Néanmoins, que les protagonistes de cette histoire ...Contient : tiré (4), tire (2)(...) Scott, qui surveillait tout à l'heure notre campement, a aperçu une lueur étrange dans la forêt près de la Tour de Plomb. Pourtant, tout semblait immobile. Mon ami nous a donctirédu sommeil et nous nous sommes tous cinq approchés. Il y avait effectivement une lueur bleutée qui semblait se mouvoir plus loin au-dessus de la forêt. (...)
Peu avant l'aube : Ca y est le mystère est éclairci, la malédiction levée et les traîtres ont rejoint le royaume d'Humakt ! Mais reprenons dans l'ordre. Nous avons ététirédu sommeil par des cris de peurs et par le toc-toc de Furcador. Dehors les créatures de l'au-delà attaquaient le village, usant même de flèches enflammées ! (...)
- C'est parce que vous avez éliminé G'Baji que nos âmes, à nous tous ici présents, ont enfin été libérées de son emprise. Depuis qu'il n'est plus, le flot de pervertis défile devant Arachnée Solara quitireenfin vengeance du mauvais tour que lui joua G'Baji. Arrighel fit une pause, il arrivait en haut des marche, il hésita un instant puis repris. (...)
Auric nous apposa les mains, nous protégeant magiquement et arma son arbalète. Soudain tout s'est enchaîné rapidement. J'aitiréquelques flèches sur les puces et leurs cavaliers, Auric expédia deux ou trois carreaux, puis brandissant sa hache chargea le campement. (...)
Les lieutenants lunars reprirent le contrôlent de leurs hommes et encerclèrent le monstre, commençant à la larder de projectiles. Voyant cela, Irssin se dégagea de sa monture et prit la fuite àtired'ailes. Derrière lui, le lézard des roches ne tarda pas à s'affaler sous les coups des lunars. (...)
Puissent les dieux me pardonner et les hommes comprendre les raisons de mon geste. Cela est arrivé de la manière suivante. Alors que je dormais depuis quelques heures, un bruit m'atirédu sommeil. Quelqu'un se déplaçait furtivement dans le couloir et commençait à entrebâiller la porte de ma chambre. (...)