Histoire officielle des Guerres de Greyhawk
Les philosophes disent que les conflits trouvent toujours leur origine dans la convoitise - du pouvoir ou de butins. Ceci est peut-être vrai pour les quelques petites guerres et autres raids frontaliers qui firent l'histoire de Tærre. Toutefois, le grand carnage qui marqua ces dernières années ne saurait s'expliquer simplement par la seule convoitise. En effet, ce furent plutôt l'alchimie complexe des passions ...Contient : hordes (4)(...) En l'espace de quelques semaines, Sevvord Barberouge - très connu pour son indépendance bornée - changea radicalement (ou magiquement) d'idée et se joignit auxhordesbarbares de Vatun. Les Vagabonds des Terres Stériles, peut-être parce qu'ils sentaient l'odeur trop familière de Iuz, se montrèrent moins pieux envers Vatun. (...)
Holmer pensait plus périlleux pour lui d'accepter sur son sol de puissants Chevaliers de Furyondie pour l'aider à se défendre plutôt que d'affronter leshordesde la Société Cornue avec ses propres troupes. Au début du mois de Migreplume, Iuz frappa. Sous le couvert de la nuit, les humanoïdes de la Société Cornue passèrent les rivières Veng et Ritensa et lancèrent des attaques tests. (...)
Ses seigneurs levèrent de vastes milices pour renforcer les rangs des Chevaliers du Cerf et des troupes furent rapidement rappelées de la frontière avec la Forêt de Vesve. Grâce à ces renforts, l'armée de Furyondie réussit à contenir leshordeshumanoïdes de Iuz à la Bataille du Pont de Crêtemur leur infligeant des pertes sévères, interdisant ainsi toute progression au delà de la Veng. (...)
En effet, la majorité des armées qui auraient pu aider la Principauté dans sa lutte étaient au nord. Ainsi, la petite armée d'Ulek, bien qu'aguerrie, fut prise de court par leshordesdéferlantes du Pomarj et vite débordée. Le nain Marshall de la Joyau, Augustos Clinkerfire, combattit de son mieux mais ne put qu'organiser une retraite en bon ordre devant le nombre d'assaillants. (...)