Lumière sur... Saint Seiya Legend
sur Jeux d'Ombres
En trois mois de temps, Saint Seiya Legend a prouvé que l'on peut avoir un très gros succès avec une nième adaptation rôlistique d'une série à succès. Ecrit par Romain « Rom » d'Huissier, ce JdRA propose aux joueurs d'incarner les héros d'une épopée helléno-nippone qui a fait grand bruit dans les années 80... Un Hypermythe dans la penderie : Lancé en 1986 au Japon, le manga « Saint Seiya », plus connu en France sous sa traduction Les Chevaliers du Zodiaque, a connu un tel succès qu'il fut adapté ...Contient : combats (3)(...) Poséidon, Hadès, Eris, Apollon, et bien d'autres... Ils sont nombreux, puissants et protégés par leur propre ordre chevaleresque mais nos cinq héros parviennent, au fur et à mesure de leurscombatsdésespérés et à force de courage et de sacrifices, à tous les surpasser, permettant aux innocents de jouir de la paix. (...)
Entre les MR (Marge de Réussite) et les ME (Marge d'Echec), le cosmos avec lequel on « booste » les jets mais qu'on ne peut utiliser que dans certaines limites et pas tout le temps, les dégâts psychiques qui occasionnent des dégâts physiques mais desquels on peut se défendre grâce à une technique spéciale physique ou psychique... pffffff, à vrai dire on s'y perd un peu au début. Je dis bien au début parce qu'une fois les habitudes prises et les joueurs rôdés, lescombatsdeviennent d'un coup plus rapides. Mais je comprends que certains puissent être rebutés par ces calculs abstraits dont on ne sait pas si le résultat qui va sortir ne pourrait pas être résumé par une racine quelconque d'un nombre premier. (...)
Et maintenant, les raisons pour lesquelles je ne saurais que trop vous conseiller ce jeu : « Saint Seiya Legend » possède un potentiel extraordinaire en terme de campagne et promet aux joueurs comme aux maîtres de jeu des heures et des heures de plaisir. L'intérêt du jeu ne réside pas dans sescombats, il existe au travers de la recherche permanente des personnages d'une perfection de vie. Toutes les valeurs que j'ai pu citer au début de cette chronique, si on ne les joue pas vraiment, on perd tout l'attrait du jeu. (...)