Nightprowler, les carrières de la seconde édition
sur Fred H au format (164 Ko)
L'ombre : La soirée promettait d'être tendue. Mes dons d'observation allaient être mis à rude épreuve. Combattant émérite reconnu dans la Principauté, connaisseur de nombreux poisons, observateur hors pair, j'étais devenu depuis des années l'ombre de Ragnar le Borgne. Ragnar, un personnage peu recommandable, mais à la tête de l'une des plus grosses guildes affiliée aux Félins à Bejofa. Un grand ponte quoi, le genre de personne à qui on refuse rarement un contrat, surtout lorsque ce ...Contient : société (5)(...) Maintenant que les plants avaient poussé et qu'il apparaissait comme l'un des leurs à tous ces guignols de la hautesociété, il était temps de récolter la moisson... les informations allaient pleuvoir dans ses oreilles. (...)
Comme d'habitude je me suis enfermé dans ma chambre, comme d'habitude ils ont du dire à leurs invités que j'étais un taciturne, un artiste qui reste seul et n'aime pas lasociété. La porte est fermée de l'intérieur. Un petit saut sur l'avant-toit en contrebas, puis me laisser glisser le long du mur... facile d'éviter les gardes quand on connaît leurs patrouilles. (...)
Et me voilà avec de quoi manger et vivre pendant quelques semaines, ni plus heureux ni plus malheureux... Mais quand on vit dans la rue on ne s'embarrasse pas de concepts moraux. Le courtisan : Le Drap au Liseré était l'un des lieux les plus populaires au sein de la hautesociétéd'Antalia, l'une de ces maisons où l'on pouvait croiser dans une ambiance chaleureuse et douce la plupart des dignitaires de la ville. (...)
Le charlatan : Inigo avait grandi dans les bas-quartiers de Samarande, à quelques centaines de mètres des plus hautes sphères de lasociété. A force de voir passer tous ces gens dans leurs chaises à porteur, de sentir les parfums des belles dames, de voir les habits distingués, il n'avait plus qu'un rêve depuis tout petit : rejoindre ces hautes classes. (...)
Marig se décida à en parler à son employeur... Celui-ci n'eut pas l'air surpris, demandant à Marig si son nouveau mode de vie lui déplaisait, s'il était malheureux. Il lui parlât d'une vision du commerce à grande échelle, des liens unissant tous les milieux de lasociété, des échanges quasi-officiels entre criminels et représentants de l'ordre, de la corruption permanente dans les Cités. (...)