Le Salut du Coadjuteur
sur La Cour d'Obéron au format (107 Ko)
Ce scénario est conçu pour des personnages appartenant à la clientèle de la Maison de Guise. Il convient à une troupe de personnages courageux comprenant au moins un ou deux combattants et de bons diplomates. La présence d'un aristocrate est vivement recommandée ; celle d'un ec- clésiastique peut s'avérer à double tranchant : précieuse dans certaines circonstances, périlleuse dans d'autres. L'histoire : 1) La fuite du coadjuteur. Jean d'Aigremont, chanoine du chapitre de la cathédrale ...Contient : comte (6)(...) Les deux cavaliers sont Sir Cecil Riverhall, émissaire du gouverneur anglais du Havre, et son garde du corps, le lieutenant Pierce Harrow. Ils sont porteurs d'un message destiné aucomtede Throckmorton, ambassadeur d'Angleterre en France, actuellement prisonnier (plus ou moins consentant. (...)
Parmi ces officiers se trouvent le capitaine Blaumann, le Prince de Portien, le colonel général de l'infanterie François d'Andelot, lecomteNicolas Throckmorton et un quatrième homme. Il s'agit d'un grand soldat aux cheveux et à la barbe gris. (...)
Qu'ils soient prisonniers ou enrôlés, les PJ auront l'occasion de revoir Sir Cecil Riverhall dans l'entourage ducomteNicolas Throckmorton. Si leur première prise de contact a été courtoise, l'émissaire anglais se montrera tout disposé à aider les PJ dans leurs recherches. (...)
Mais il lance dans la plaine ses chevau-légers pour briser l'élan de la cavalerie de Louis de Condé, et les reîtres ducomteRoggendorff pour décimer les lansquenets de Reiner Blaumann. Les Reîtres sont rejoints par la cornette de Claude de Ginvilliers, qui cherche à trouver et à tuer Louiset. (...)
Les forces catholiques, composées des troupes royales, des troupes levées par Paris, des forces des Triumvirs et de celles de nombreux mercenaires (régiments ducomteRhingrave, Suisses des treize cantons, reîtres ducomteRoggendorff) ont une supériorité écrasante. De plus, les catholiques sont soutenus par le Duc de Savoie, encore indépendante, et par les Espagnols, qui entrent en force au Béarn et en Guyenne, où ils crucifient et éventrent les protestants. (...)