La Bretonnie
Contient : attitude (3)(...) On ne s'étonnera pas que les peuples pauvres et maltraités des villes de Bretonnie aient une réputation de fauteurs de trouble, d'ambitieux agitateurs politiques et de filous. LA POPULATION : Il est possible que l'attitudedésinvolte de l'élite bretonienne, face aux terreurs qui les entourent, puisse s'expliquer par le calme et la prospérité relative de son pays. (...)
La guerre donne au chevalier bretonnien une chance de montrer son courage, de gagner de l'honneur et d'avancer les idéaux de la Chevalerie par sa bravoure personnelle. Bien que ces valeurs soient recommandables, cetteattitudeidyllique envers la guerre n'est pas toujours en faveur des bretonniens. Enthousiastes à l'idée d'affronter les autres nobles, ils ignorent souvent toute autre considération. (...)
Les moins fortunés se prive des deux derniers. La noblesse de Bretonnie est notoirement inflexible dans sonattitudeenvers la guerre - elle préfère combattre à cheval quand la chose est possible. Cependant, il y a bien entendu des cas où c'est impossible et même la fleur de la chevalerie doit combattre à pied. (...)La Bretonnie est un vaste pays sur lequel la marque du Chaos est moins apparente que (par exemple) dans les forêts de l'Empire. La fondation du pays remonte à 1500 ans, lorsque Gilles le Breton, à la tête d'une armée recrutée dans la ville bouillonnante de Guisoreux, entreprit une campagne de conquête qui conduisirent à l'unification des nombreux petits états féodaux de l'ouest des Montagnes Grises et nord de la rivière Brienne. Elle devait durer 70 ans et c'est son petit fils, Guillaume Barbenoire ...