La Bretonnie
Contient : serviteurs (3)(...) Il vit dans un grand palais, à Oisillon, à 150 km au nord ouest de Guisoreux, entouré de ses favorites, de flagorneurs et d'une cohorte deserviteurs. On ne s'étonnera pas que les peuples pauvres et maltraités des villes de Bretonnie aient une réputation de fauteurs de trouble, d'ambitieux agitateurs politiques et de filous. (...)
Les milices des diverses cités portent des tuniques, souvent avec les armes héraldiques de leur cité. Les nobles bretonniens ont tendance à amener avec eux leur entourage deserviteurset assez de bagages pour leur permettre de vivre de la manière dont ils ont l'habitude. Inévitablement, ce magnifique cortège attire de vulgaires paysans, des vagabonds et autres bons-à-rien, espérant piller le champ d'honneur. (...)
L'ordonnance : L'artillerie bretonnienne (des canons servis par trois hommes) est maintenue et utilisée par un corps desserviteursdu Roi appelé l'Ordonnance. Mercenaires : Les bretonniens sont prêts à payer des sommes extravagantes pour des mercenaires particulièrement durs et féroces pour compenser la maigre qualité de leurs troupes. (...)La Bretonnie est un vaste pays sur lequel la marque du Chaos est moins apparente que (par exemple) dans les forêts de l'Empire. La fondation du pays remonte à 1500 ans, lorsque Gilles le Breton, à la tête d'une armée recrutée dans la ville bouillonnante de Guisoreux, entreprit une campagne de conquête qui conduisirent à l'unification des nombreux petits états féodaux de l'ouest des Montagnes Grises et nord de la rivière Brienne. Elle devait durer 70 ans et c'est son petit fils, Guillaume Barbenoire ...