Killing is our business... and business is good
Contient : membres (6)(...) Le MJ doit porter beaucoup de soin à la description des autres shadowrunneurs, du moins autant qu'il est permis aux PJ de les voir dans l'enfer du combat, car c'est extrêmement important pour le reste du scénario. Pour la description exhaustive desmembresde la Ghost Division, voir plus loin. Cette scène est l'une des plus fortes du scénario, et conditionne tout le reste de l'histoire, donc il ne faut pas la rater et surtout ne pas hésiter à improviser, si jamais les PJ arrivaient à battre la Ghost Division. (...)
Seul le fait qu'ils soient euxmêmes runneurs constitue un avantage pour entrer en contact avec la Ghost Division, et encore, celle-ci sera-t-elle très méfiante. L'équipe est composée desmembressuivants, sous réserve d'éventuelles pertes dues aux PJ, aux griffons, voire aux gardes du hangar: • Bamok, minotaure samouraï des rues; 3,20m, 220kg. (...)
En clair, tant que personne n'est vivant pour se plaindre, tout va bien. La conversation sera totalement différente selon qu'il y a eu ou non mort demembresde la Ghost Division par la faute des PJ. Dans ce cas, le seul moyen d'obtenir le moindre renseignement sera la force (dangereux mais tout à fait réalisable), ou, plus subtil, un simple interrogatoire magique sur l'un desmembresisolés. Si par contre le run de la Ghost Division s'est bien passé, sesmembresseront tout à fait prêts à discuter, mais leur conscience professionnelle leur interdira de révéler le nom de leur employeur. Pour obtenir quoi que ce soit, les PJ devront soit réussir à convaincre Banzaï, ce qui entraînera les confidences de toute l'équipe, soit ruser. (...)
Pour une fois, les PJ doivent faire preuve d'intelligence et d'innovation pour tenter autre chose que s'introduire dans un bâtiment ou autre run habituel; à eux de faire preuve de psychologie et le meneur de jeu doit transformer cette beuverie en grand moment de jeu de rôle. Chacun desmembrespossède un talon d'achille, mais le plus facile à berner est sans conteste Europa, tant son humanité est lointaine. (...)Casus Belli N° 85 - février 1995. Une affaire de clones : Digital Magix est une corporation de taille moyenne basée à Seattle. Elle est spécialisée dans le développement de système expert pour supercalculateur. Son savoir-faire est tel que Renraku fait ponctuellement appel à ses services pour de la sous-traitance. Grâce à ses liens privilégiés avec la mégacorporation, Digital Matrix a pu se familiariser avec son organisation interne, et surtout réaliser à quel point son avance technologique ...