Le Centre de la Folie
sur Librarium au format (30 Ko)
Synopsis : Dieter Brinks, licteur de l'archonte disparu Chesed, a changé. Depuis sa descente en Enfer et son retour à Métropolis, il y a de cela quelques jours, le licteur a changé. Il sent une présence se réveiller en lui... 7 Juillet 1943: Après vingt ans de lutte contre ses semblables, Chesed, à bout de force, crée 6 êtres à partir des chairs de ses Incarnations (Calvin Bradley, Henri Deville, Eric Callder, Sade Kingston, Edward Klimb et Dieter Brinks), et se réfugie dans chacun ...Contient : vieux (6)(...) Les meubles sont brisés d'avoir été projetés sur les murs, et seule une ampoule nue éclaire la scène. Au centre de la pièce une mare de sang coagulé a recouvert unvieuxtapis fané. Les murs sont eux aussi maculés d'hémoglobine, répandue en symboles torturés et complexes. (...)
Lors de l'entrée des personnages dans la boutique, Crétius est perché sur un escabeau, en train de dépoussiérer unvieuxcorbeau empaillé. Interrogé à propos du symbole d Hannihilam, Cretius prétendra ne pas le reconnaître (ce qui n'est vrai qu'à moitié: il a déjà vu un signe semblable mais différent dans un vieil ouvrage traitant des coutumes et religions polynésiennes). (...)
c'est la plus mauvaise solution, et Cretius les enverra chez deux ou trois charlatans avant de leur donner à contrecoeur (contraint ?) le nom d'Henri Deville. Les personnages peuvent également tenter de soudoyer levieuxCrétius. Celui-ci empochera l'argent et enverra les personnages chez Alfonso Lopez, un voyant. (...)
Une vieille plaque annonçant Hope Street traîne dans la boue. Quittant le sol, le regard des personnages se portent sur unvieuxbâtiment au bout de cette rue. Il est sombre et se découpe sinistrement du ciel pluvieux. Des chants bas semblent en émerger et enfler. (...)
Deux solutions pour retrouver Hope Street: la recherche dans les archives du FBI, auquel cas les personnages retrouveront trace de Hope Street dans unvieuxplan de la ville datant de 1942, ou bien l'investigation sur le terrain, qui s'avérera pénible sous la pluie battante qui s'abat sans discontinuer. (...)
Monsieur Siphr : La pluie redouble d'intensité alors que les personnages approche du ' Temple ', comme l'appelle les adeptes d'Hannihilam. c'est unvieuxbâtiment, à l'aspect vétuste et peu entretenu, tout en nuance de gris et d'ocre sombre. Aucune plaque à l'entrée, et rien dans la vieille porte en bois ne laisse supposé que le bâtiment est habité. (...)