Le secret du Domaine des trois sources
sur Blog à part: troisième époque au format (1.3 Mo)
Le secret du Domaine des trois sources est une campagne Tigres Volants pour 3-6 personnages. Elle est plus connue dans certains cercles sous le nom de « campagne lupanar », d'abord parce que c'est une campagne et ensuite parce qu'elle tourne autour d'un lupanar. L'amorce est classique : des personnages d'origines disparates héritent d'une propriété lointaine et mystérieuse, léguée par une connaissance ou un parent éloigné, et qui recèle un lord secret. Comme il s'agit d'une campagne ...Contient : septième (3)(...) Leur statut leur donne également droit au gîte et au couvert dans le domaine - avec les corvées y attenantes, bien entendu - mais pas de droit de cuissage envers les pensionnaires : ce sont des indépendants qui payent leur écot (y compris ceux qui, comme les personnages, sont actionnaires) ; en ce sens, ce sont aussi des clients du domaine. Si certains veulent duseptièmeciel, ce sera soit comme client (s'ils en ont les moyens), soit dans le cadre de relations personnelles extra-professionnelles. (...)
La carte au trésor : Les informations contenues dans le cristal mémoire sont les suivantes : des données de géolocalisation précises, correspondant auseptièmeou au huitième sous-sol du bâtiment de la Banque centrale de la FEF, Tara Duanti, Prasidian ; le code d'une porte d'entrée (la grosse porte de la cache) ; et le mot de passe d'un ordinateur (le serveur militaire, qui contient également des informations embarrassante, voir « La liste de Leyran » plus loin). (...)
C'est clair qu'une telle approche va leur ouvrir plein de portes et modifier radicalement la structure du sixième et duseptièmeépisode. Sauf que... Sauf qu'une grande partie des gens qui n'ont absolument aucun intérêt à voir remonter à la surface les petits secrets de feu l'ancien président sont encore en poste au sein du Conseil de la Frontière et, s'ils aimeraient bien savoir où se trouve le pognon, ils sont beaucoup moins pressés de récupérer les preuves de leur propre culpabilité. (...)