La malédiction de Delfgruber
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Contient : altdorf (7)(...) Le mal était fait, l'épidémie allait s'étendre à la communauté entière en quelques semaines. La nouvelle du mal qui rongeait les habitants de Delfgruber finit par arriver àAltdorfet l'empereur, alerté en personne par ses conseillers, pris très au sérieux la menace d'épidémie qui grondait aux portes de la capitale de l'empire. (...)
En effet la nouvelle du carnage de Delfgruber avait finit par arriver à Weissbruck, mais sans aucun détail. Tout ce qu'on savait c'est que des soldats étaient venus d'Altdorf, avaient tout brûlé et étaient repartis. Quoi qu'aient pu faire les habitants du village maudit, ces réfugiés n'étaient que des enfants, ils furent donc épargnés, puis oubliés. (...)
Engelmar n'ayant pas réussi à trouver une victime au marché de Bogenhafen, il espère pouvoir remplir sa mission sur le chemin du retour. Pour le moment le laideron d'Altdorfest sa seule victime potentielle. Jusqu'à l'arrivée de la famille Finkel et de la ravissante Ilda. (...)
Deuxième journée de Blutroch au Relais De Fruegel : Fini la longue descente dans la forêt, une fois traversé le Blut, il faut en quitter la vallée pour remonter versAltdorf. Nouveau départ à l'aube, direction la croisée des chemins et le Relais De Fruegel. Dans la matinée, le détachement de soldats impériaux, le répurgateur à leur tête, double le convoi. (...)
Les membres de la famille Finkel réfugiés dans leurs chariots sont indemnes et n'ont rien vu du combat. L'homme mort est le garde du corps de la famille de bourgeois d'Altdorf. Engelmar décrit l'attaque comme suit : «Au moment où nous arrivions au niveau d'un carrosse qui se dirigeait versAltdorfces créatures ont surgit du bois. Les chevaux se sont affolés, et le carrosse a failli se renverser. (...)
Les PJ et les marchands devront se contenter d'un peu de foin dans l'écurie. Si les PJ s'intéressent au carrosse des bourgeois d'Altdorf, ils apprendront qu'il est passé il y a 3 heures, qu'ils ont changé leur chevaux contre un équipage frais (le patron du relais est encore ravi de la bonne affaire) et décidé de poursuivre leur route. (...)L'histoire d'une tragédie. Il y a de cela cinquante ans, Delfgruber était un village minier prospère qui vivait de l'exploitation du filon de fer qui avait incité à sa fondation. La vie était paisible dans la communauté jusqu'au jour funeste où la pioche d'un mineur mis à jour une cavité au coeur de la montagne. Une des parois de cette grotte était un mur de pierres couvert de signes étranges. Les inscriptions mystérieuses gravées dans la pierre excitèrent la cupidité du mineur ...