Namur
sur Eric Christ au format (283 Ko)
Namur, an de grâce 1136, au début de l'hiver. Le vieux comte Godefroid est très malade et aux dires des médecins, il ne survivra pas à l'hiver qui s'annonce rude. Son jeune fils Henri doit lui succéder à la tête du comté. La suprématie des Ventrues s'étend sur toute la ville et ses environs. Même les autres clans, Lasombras, Malkaviens ou Toréadors se plient à la volonté du seigneur Angus, chef du clan des Ventrues. Ce dernier craint pour la vie du jeune Henri. Il charge donc son bras droit Brenor ...Contient : voix (10)(...) Ses yeux sombres vous examine les uns après les autres. Il vous fait signe de prendre place autour de la table puis d'unevoixà la fois douce et glacée, il vous explique le pourquoi de cette réunion : « Je suis Brenor. Je suis lavoixet le bras d'Angus, le seigneur de cette cité. Certains d'entre vous ont obtenu du seigneur la permission de demeurer en cette ville. (...)
De la lumière filtre des fenêtres par les volets mal fermés. Ecouter (Diff. 7): * Perception + Vigilance. On entend desvoixvenant de l'intérieur, sans doute le jeune comte et ses hommes en train de souper. L'attaque : Autour de l'auberge, tout est calme. (...)
Les assassins s'approchent à pas de loup du mur fermant la cour. Un hennissement vous parvient des écuries, suivi de lavoixd'un palefrenier occupé sans doute à soigner les chevaux. Par la porte de l'écurie à droite du bâtiment, un jeune homme sort, une lanterne à la main. (...)
7): * Utiliser une discipline vampirique. * Perception + Empathie (superficiel). Quelques éclats devoixet celui portant l'armure de fer se lève d'un coup de reins violent, envoyant valdinguer sa chaise derrière lui. (...)
« Bailli, emmenez ce meurtrier dans vos geôles. Demain, il sera juger par notre seigneur. », s'écrie d'unevoixforte le chevalier au Graal. « Bien, sire Enguerand. Messieurs, emmenez le chevalier Lantennac. (...)
> « Un prisonnier s'est échappé des prisons du seigneur ! Trente deniers à celui qui aidera à sa capture ! », annonce d'unevoixforte un sergent de la milice. > Les gens murmurent qu'il s'agit du chevalier Lantennac, un des fidèles du comte qui aurait poignardé un de ses amis la veille dans une des auberges de la ville. (...)
Le serment d'Enguerand : Dans la cour du château, un petite troupe d'hommes bien armés s'apprête à partir, Henri de Namur et Enguerand à leur tête. Enguerand arbore fièrement le symbole du Saint Graal sur sa tunique immaculée. D'unevoixforte, il annonce : « Je jure sur ma foi, moi Enguerand, chevalier de la Sainte Coupe, que le dénommé Lantennac sera retrouvé et châtié pour les atroces crimes qu'il a perpétré en ces lieux. (...)
L'ombre massive du promontoire rocheux se dessine dans les rayons de lune. Un homme l'attend. C'est Marcus. Il s'approche de Lantennac, une épée dans chaque main et d'unevoixgrave : « Tiens, défends toi ! Enfin, je vais pouvoir venger mon frère ». Et il lui lance une des deux épées. (...)
Enguerand se penche sur le comte qui essaye de se relever, mais garde toujours un oeil sur l'assaillant. L'ennemi, d'unevoixsépulcrale, se présente : « Je suis Mossan. Pauvres fous, écartez vous de mon chemin si vous tenez à la vie. (...)