Extraits de Londres au XIXème siècle
sur Les Editions sans Détour au format (28.5 Mo)
Contient : tire (3)(...) Ces taudis mais aussi parfois les beaux quartiers sont envahis d'individus dont on se méfie, comme les costermongers, les ramoneurs, les mendiants ou les prostitués, et de membres à part entière de la pègre : voleurs à latire, depuis le famélique gonoph jusqu'à l'élégant swell mobsman, détrousseurs violents tels le redouté garotter, cambrioleurs de tous niveaux, receleurs, faussaires... Le dernier chapitre est consacré à l'Angleterre dans son ensemble. (...)
Trois sont du côté du fleuve : l'Iron Gate (porte de Fer), la Water Gate (porte de l'Eau) et la Traitors' Gate (porte des Traîtres). Cependant, l'entrée principale se trouve à l'ouest : c'est la Lions' Gate, quitireson nom d'une ancienne ménagerie. A droite de cette porte des Lions, on trouve le Ticket Office où s'achètent les billets pour voir la collection d'armes et d'armures anciennes ou les joyaux de la couronne. (...)
Suite à cet événement, les Cranswell quittent l'Angleterre pour un séjour en Suisse. Quand ils rentrent à Croglin Grange, la créature lance un nouvel assaut : l'un des frèrestireun coup de feu et la touche à la jambe, ce qui la met en fuite. Mieux, il parvient à suivre sa piste jusqu'à un caveau du cimetière voisin. (...)Préface : Le Londres victorien ne laisse pas indifférent ceux qui le visitent, c'est même tout le contraire : certains le considèrent comme la « Reine des cités », d'autres comme une « Ville monstre » ; Victor Hugo voit en lui la « Babylone noire » et Pierre Larousse, « le premier marché de l'univers ». Contrastées sinon contradictoires, ces opinions n'en sont pas moins toutes fondées, car elles sont le reflet d'une caractéristique frappante de la capitale britannique : elle offre en effet ...