Un simple détour soldats !
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Contient : drogues (2)(...) Entre les balles du Viêt-Cong, les atrocités de villageois dégénérés, les trahisons calculées de la CIA et les pièges des TchoTchos, ils auront en effet fort à faire - à moins que tout cela ne soit qu'un rêve, une hallucination collective due auxdroguesqui leur sont livrées par l'état major ? Prologue : bref historique. Après trois années d'opération Rolling Thunder (comprenez bombarder massivement tout ce qui bouge depuis le ciel pour éviter de risquer la vie des troupes au sol), les Etats-Unis semblent définitivement certains de leur victoire face au Viêt-Nam du Nord et à la guérilla, misant sur une supériorité technologique sans pareille... Grossière erreur : l'ennemi a profité de ces trois années pour s'équiper auprès de l'allié chinois, avant de lancer courant 1968 une offensive généralisée dans le Sud Viêt-Nam, profitant de la trêve traditionnelle du Têt. (...)
Le repas se déroule à merveille, dans une ambiance bon enfant, jusqu'à ce que l'un des PJs morde dans un morceau quelque peu coriace : il recrache alors une bague de mariage typiquement occidentale... Ecoeurés de pris de vomissements (perte de SAN : 1d4/1d10), les GIs devraient ensuite céder à une colère sans pareille, mélange de fatigue, de lassitude, d'horreur, le tout influencé par lesdrogues... Même si les villageois savent se défendre, ils n'ont que peu de chance face à une section bien armée et enragée - d'autant plus si celle-ci tire aveuglément « dans le tas », sur les hommes aussi bien que sur les femmes et enfants. (...)Ce scénario, joué à la Convention 2001 de Chambéry, a pour but avoué de restituer l'ambiance de films tels que Platoon, Apocalypse Now ou Full Metal Jacket, ou encore de séries comme l'Enfer du Devoir, le tout sur fond de Mythe bien entendu (les habitués de Delta Green reconnaîtront d'ailleurs aisément la scène de l'assaut final, empruntée à un épisode clé du livre de base)... Dans cette aventure, sept GIs de la célèbrissime aéromobile, immortalisée sur pellicule par Coppola, vont ...