Brigaël : De Larmes et de Sang
La jeune fille se réveilla en sursaut. Les gouttes de sueur perlaient sur son front, tous ses membres étaient secoués de tremblements et sa respiration était courte et sèche. Une ombre dans la pièce lui fit pousser un cri ! « Ce n'est que moi ma fille, dit alors la femme qui s'approchait de la couche. Tu as encore fait des cauchemars, ne me diras tu donc jamais ce qu'ils renferment ? » « Je ne le peux pas, répondit Brigaël, mais bientôt je comprendrai. Demain je dois passer l'épreuve pour rentrer ...Contient : pied (3)(...) Elle était si vive qu'il ne parvenait pas à la saisir, elle hurlait tellement que personne n'osait intervenir. Farrel commençait à saigner d'un peu partout, les coups de poing, depied, d'ongles, les morsures finirent par avoir raison de lui. « Assez ! Hurla t'il, Arrête je t'en supplie ! (...)
Brisant le silence, Tiarnan hurla: « Mais tu vas la raconter la suite de ton histoire Keldas le lent !!! » puis d'un magistral coup depiedaux fesses il le remit debout. Subitement ramené à la réalité, Keldas enchaîna : « Ben quand le grand il dit ça, Menis il rigole encore plus fort et 'pan' il lui colle sa grande paluche en plein dans la tête ! (...)
Quelque chose qui brillait dans le lit de la rivière, à l'endroit exact où, dans son rêve, avait disparu le corps de son frère, attira son regard. Elle plongea ses mains aupiedd'un rocher et sortit de l'eau un torque d'argent, gravé de runes de sang. Elle se rendit sur l'île sacrée auprès de Finndarach et lui conta son histoire. (...)