Télé-Suggestions
sur Les Arpenteurs de Mondes au format
Contient : docteur (14)(...) Le groupe qui vient d'arriver de Washington peut observer à travers une glace sans teint leur collègue, manifestement sous tranquillisant, en train de regarder machinalement le poste. Un jeune homme en blouse de médecin arrive alors. Il se présente comme étant ledocteurStroman, contacté pour établir un diagnostic précis pour la court. Il a placé le PJ incarcéré sous thorazine afin de le maintenir calme. (...)
(n'oubliez pas que le PJ a énormément bût la veille) Si les PJ lui demandent qui l'a mit sur cette affaire, Stroman répondra qu'il s'agit dudocteurKahn, du Département des Services Sociaux de Santé (Washington D.C.). Si les PJ demandent à contacter cette personne, ledocteurStroman leur déclare que Kahn n'est pas joignable actuellement, mais qu'il lui demandera de prendre contact (ledocteurStroman ment, mais très bien. En fait, il est venu faire un bilan psychiatrique de l'agent incarcéré, mais pas pour le département des services sociaux de santé...) De même, si les PJ cherchent à contacter directement ledocteurKahn, on leur répondra qu'il n'est pas joignable pour le moment. EVIDENCES : Le Shérif du Comté, William Biddle, arrive à ce moment et se présente alors aux PJ : c'est un homme corpulent qui porte non pas la traditionnelle tenue que l'on attend, mais un costume sombre de belle facture. Il ressemble presque à un agent fédéral, hormis sa corpulence et sa morgue naturelle (une carrière dans une région aussi paisible, çà use ! (...)
Le Shérif ne semble pas étonné outre mesure, ne cachant pas qu'il considère les agents fédéraux en général comme de tristes cow-boys... Néanmoins, pour un complément d'enquête (motifs du tueur, aveux, mobile, etc.) il autorise l'interrogatoire et la sortie du suspect sous la responsabilité des enquêteurs. LedocteurStroman ne s'y oppose pas. Evidemment, le suspect ne dois pas être armé, et doit rester menotté en permanence. (...)
Le chaos qui en résulte devra être bien géré par les PJs encore en plein possession de leur moyen, sous peine d'une fusillade on ne peut plus meurtrière... Suite à cet scène, les PJs vont tous aller faire des analyses à l'hôpital de Braddock Heights. Là, ledocteurLorenz, responsable des patients qui ont des troubles psychologiques, va diagnostiquer un haut degré de sérotonine dans les analyses sanguines des PJs qui ont « craqués » : c'est une substance fabriquée par le cerveau dans les circonvolutions spinaliennes lorsque l'activité cérébrale est particulièrement intense. (...)
Désormais, les PJs ont des preuves scientifiques, il ne leur reste plus qu'à trouver les coupables... En passant, ledocteurLorenz apprend aux PJs que ledocteurStroman a quitté précipitamment l'hôpital avec les dossiers de tous les patients coupables de meurtres admis à Braddock Heights, y compris celui du PJ ! Il n'a laissé qu'un numéro local : celui du 2400 Court Motel, celui-là même ou les PJ ont pris leurs quartiers... LES DEMODULATEURS : Tous les démodulateurs trafiqués ont été retirés le jour même, plusieurs témoins du voisinage attestant avoir aperçu un camion beige clair et un technicien en train de remplacer les modules. Les preuves s'envolent, il est temps d'agir !!! 2400 Court Motel. LedocteurStroman est parti sans laisser de traces, mais a passé des appels locaux enregistrés par le réceptionniste du motel. (...)
Alors qu'ils progressent vers la demeure, ils remarquent un véhicule garé devant celle-ci, et remarquent l'arrivée du van beige clair de la compagnie du câble... LedocteurStroman est bien dans la maison, ou le rejoint le technicien qui a récupéré les modules. Ceux-ci semblent nerveux, et attendent manifestement un 3e homme avec anxiété. (...)
Un homme, un afro-américain au regard inquiétant, portant un collier de barbe grisonnant, à la voix grave, s'approche des corps avec une arme encore fumante à la main, tenue par une main gantée de cuir : ==> Notre Mister X, ici présent, peut être, si vous avez déjà utilisé ce genre de PNJ, l'un des informateurs obscur de l'équipe, le genre d'informateur qui se livre peur, n'en dit jamais assez, mais donne toujours suffisamment d'informations pour que les PJ tombent sur de gros coups tout en se faisant leur propre opinion... Cela doit être un homme inquiétant, dont les PJ ne doivent rien savoir, si ce n'est qu'il est puissant et a le bras long... « Vous arrivez trop tard, agents xxx » Il ne réagit pas aux menaces des PJs, qui lui demandent probablement de baisser son arme et de se rendre. Il se baisse et place l'arme du crime entre les mains encore tièdes dudocteurStroman. En fonction de ce que disent les PJ, voici ce que notre Mister X (voir les autres scénarios sur le site ou le background) : « Je n'ai pas détruit les preuves, vous en avez quelques unes, j'ai seulement évité que d'autres morts se produisent... » « Je les ais tués parce que sont mes ordres, agents xxx, j'espérais seulement que vous les trouveriez en premier. (...)
D'ailleurs, la vérification du réseau de Braddock Heights n'a rien donné, même si la preuve de modifications est désormais faite. Les 2 hommes, le prétendudocteurStroman, ainsi que le technicien, n'ont pu être identifiés. LedocteurKahn, de l'Administration Sanitaire et Sociale, n'a jamais entendu parler de cet homme. Par contre, tous les dossiers médicaux et le prétendus démodulateurs ont disparus, rien n'a été retrouvé dans les véhicules des morts. (...)PIXELS est un scénario destiné à être joué par tout groupe de PJ. Néanmoins, la présence d'agents gouvernementaux de type agents du F.B.I., de la C.I.A., de la NSA, du C.D.C. ou de toute autre agence serait la bienvenue, au regard du thème développé ici. Le nombre idéal de joueur est de 3, pour un maximum de 5. Ce scénario peut constituer une bonne aventure d'introduction pour une nouvelle équipe, mais a été construit sur la base d'un groupe dont les membres se connaissent déjà, et ayant si possible ...