L'Oeuf de Vallerance
sur Les Arpenteurs de Mondes au format
Contient : bras (7)(...) L'Ombre folle de haine se chargea elle-même de mettre la main sur le responsable de ce chaos. Elle convia XIII, mettant hors jeu les Hauts-Diables. Elle le lia à elle. Il devint sonbrasvengeur, il devint l'Inquisiteur. La chasse était ouverte, Phillibert devait être retrouvé et neutralisé. (...)
Il est grand et impressionnant. Deux cornes parfaitement droites s'élèvent de son crâne pour tenter d'atteindre les cieux. Sesbrassemblent mécaniques. L'articulation du coude est pourvue d'une sorte de boulon. Il n'a pas de griffes mais un avantbrasfin qui se termine en pointe tranchante. (Pour les démons prenez les caractéristiques4 ' d'Obscure Terreur '). (...)
Un vent de panique vient frapper les musiciens qui pour certains tentent de fuir. Elle transporte dans sesbrasmusculeux un coffre d'onyxium (Per+Harmonie diff 20, sauf pour les minotaures) et d'ivoire de bonne taille. (...)
Physiquement elle pourrait ressembler à un immense singe approchant les 3 mètres de haut. Ses longsbrasreposent sur le sol lorsqu'elle se déplace à terre. De son torse démesuré émerge un long cou sur lequel est posée une tête stylisé de chien, mi chair mi-pierre. (...)
Les Inspirés doivent se montrer le moins menaçant possible sous peine de faire fuir l'Ambré. Il tient serré dans sesbrasun oeuf totalement noir, qui semble avaler la lumière déjà faible, qui beigne les lieux. Quelques brèches sont visibles sur l'oeuf qui laissent apparaître quelques traits de lumière. (...)
Il crache au visage de l'Ambré : ' Où est l'Oeuf sinistre créature ! Parle où je te promets des millénaires d'atroces souffrances dans lesbrasde mon maître. ' Sur ces mots l'Ambré saisie à pleine main la lame dévorante qui le mutile et se l'enfonce plus profondément, ne réussissant qu'à se faire souffrir un peu plus. (...)Pièce en 3 Actes pour Agone. Au premier jour de sa révélation, mon Maître ne ressemblait plus en rien au maigre conjurateur que j'avais connu une vingtaine d'années auparavant. Je me souviens encore de cette première fois ou m'étais apparu son visage, sorte de peau tendue sur une armature métallique faite d'angles vifs. Son regard noir mais bienveillant dardait sur moi des rayons de curiosité. Chaque parcelle de mon être était offerte à sa critique, à son approbation, comme le ferait le peintre ...