L'Oeuf de Vallerance
sur Les Arpenteurs de Mondes au format
Contient : conjurateurs (5)(...) Jorniste accompli et surtout érudit de haut niveau, Phillibert de Vallerance, suite à une rencontre fortuite avec un conjurateur ambitieux, a entrepris des recherches pour mieux comprendre la Ténèbre mais surtout pour tenter de l'incorporer à la Flamme de l'Inspiration pour laquelle elle deviendrait un carburant de premier ordre. Ce phénomène et son étude ont guidé sa vie sur les traces des grandsconjurateurs. Il est lui-même devenu un des meilleurs parmi ses paires. Sa soif de connaissance a amusé les Hauts-Diables qui ont vu en lui un inspiré de plus à convertir. (...)
Ils vont découvrir son corps suintant de ténèbre, un peu comme si celle-ci avait voulu l'étouffer. Dès lors s'en suit une enquête dans le monde desconjurateurset des Advocatus Diaboli. Ils se rendent rapidement compte que leur progression est suivie de près par bon nombre de personnes toutes plus mystérieuses les unes que les autres et éveille bon nombre de curiosité. (...)
Après quelques fouilles, les inspirés découvrent que ces recherches concernaient la structure des Abysses, et les voyages que certainsconjurateursy avaient fait avec un attachement particulier pour les propriétés de l'onyxium et son utilisation dans la fabrication d'objet. (...)
Un pan entier de la chapelle, derrière l'autel, est recouvert d'étagère à tiroirs renfermant les connivences déposées par lesconjurateurs. Pour les gens du commun, la chapelle est fermée. La porte d'entrée est d'ailleurs scellée. (...)
Il le perdit ainsi de vue jusqu'à la récente disparition de l'Oeuf. Il senti l'odeur de Faillence et depuis prospecte lesconjurateurspour faciliter l'envoie de ses sbires à la surface de l'Harmonde. Il compte bien mettre la main sur l'imprudent Faillence et comprendre comment il en est arrivé là. (...)Pièce en 3 Actes pour Agone. Au premier jour de sa révélation, mon Maître ne ressemblait plus en rien au maigre conjurateur que j'avais connu une vingtaine d'années auparavant. Je me souviens encore de cette première fois ou m'étais apparu son visage, sorte de peau tendue sur une armature métallique faite d'angles vifs. Son regard noir mais bienveillant dardait sur moi des rayons de curiosité. Chaque parcelle de mon être était offerte à sa critique, à son approbation, comme le ferait le peintre ...