Les arcanes de la folie
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I. Le commencement. En 2001, les pjs se réveillent dans le noir. Ils ne savent pas où ils sont ni comment ils sont arrivés ici. En fait, c'est le noir total, ils ne se souviennent de rien. Ils ont l'esprit embrumer et leurs sens sont quelque peu faussés. L'un d'eux sent quelque chose de liquide lui tombé sur la tête, par goutte. Au touché, c'est poisseux. Par ailleurs, il semble qu'il soit allongé dans la même substance. Après divers mouvements, il finit par trouver une lampe sur un ...Contient : autorités (5)(...) Enfin, Kurtz a fui avec la tête et les mains de Johnson, ainsi que la main de Olson pour mieux faire passer les autres ablations auxautorités. Il a aussi laissé dans la table de nuit un téléphone portable avec un numéro qui donne directement sur le Seigneur de la Folie, afin de mener lesautoritésvers lui. Kurtz avait ainsi l'espoir de pouvoir fuir de son maître. Mais il n'avait pas prévu que les pjs allaient se réveiller plus tôt que prévu et échapper aux forces de police. (...)
En faisant cela, Kurtz devait aussi dire la phrase rituel « Mes louanges, mon maître... » qui avait pour effet de faire sortir immédiatement la seconde personnalité de Sullivan (grâce à de l'auto hypnose). Afin de mener lesautoritésvers Sullivan, Kurtz avait laissé un portable avec ce numéro inscrit dedans, sans nom.. Si les pjs téléphonent, ils vont tomber nez à nez avec David Sullivan. (...)
Il n'arrêtera de tirer ou de sa battre que quand il ne sera plus en état de le faire, ou mort. S'il survit, cela aura de forte chance d'innocenter les pjs (du moins partiellement) auprès desautoritéset de Delta Green (soit ils regagnent la confiance de la Cellule A, soit Oméga leur donne désormais un sérieux coup de pouce sans encore dévoiler pour qui il travaille). (...)
C'est lui qui a demandé à la Destinée d'éliminer Paul Sterton qui commençait un peu trop à s'intéresser à ses affaires et notamment aux livres volés en Angleterre. Homme très occupés, il est cependant près à recevoir les membres desautoritéspour les aider à accomplir leurs devoirs. Mais la moindre menace ou sousentendu sur d'éventuelles activités illégales feront clore le débat et les pjs n'auront plus alors qu'à faire à une horde d'avocat particulièrement habile à démontrer les abus policiers. (...)