Carthago Delanda est
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Préambule historique : La troisième guerre punique (149 -? 146 AV JC), conclue par la destruction totale de Carthage, confirma la suprématie romaine dans le bassin méditerranéen, ce qui permit à Rome de pratiquer une politique cynique et efficace, consistant à exploiter les rivalités entre les différents états de la Méditerranée. Les Romains entrèrent en contact avec les Grecs, d?abord en Italie méridionale puis en Sicile, et plus tard à l'est, adoptant une grande partie de l'?art, de la ...Contient : maître (11)(...) art, de la littérature, de la philosophie et de la religion de la Grèce Antique. L'?évolution de Rome, Etat-cité, en empire (Etat territorialement étendu etmaîtrede provinces riches et civilisées), par le biais de guerres longues et continuelles (guerres samnites pour le contrôle de l'? (...)
Les Romains entrèrent en contact avec les Grecs, d'abord en Italie méridionale puis en Sicile, et plus tard à l'est, adoptant une grande partie de l'art, de la littérature, de la philosophie et de la religion de la Grèce Antique. L'évolution de Rome, Etat-cité, en empire (Etat territorialement étendu etmaîtrede provinces riches et civilisées), par le biais de guerres longues et continuelles (guerres samnites pour le contrôle de l'Italie, guerres puniques) provoqua une transformation profonde et parfois tumultueuse de la structure sociale. (...)
Ils sont composés d'une dizaine de carthaginois (en tuniques noires) et de profonds qui portent un cadavre atrocement mutilé (le tribun). L'un des carthaginois a récupéré le livre, et se hâte de le porter à son seigneur etmaîtreau temple secret de Baal Moloch, ce qui peut permettre aux aventuriers d'entamer une poursuite, qui, à ce stade de la partie, échouera (car le carthaginois s'engage dans de petites ruelles), peut être grâce à l'intervention d'autres carthaginois voulant sauver leur compagnon, et surtout le livre qu'il transporte. (...)
Les Romains entrèrent en contact avec les Grecs, d'abord en Italie méridionale puis en Sicile, et plus tard à l'est, adoptant une grande partie de l'art, de la littérature, de la philosophie et de la religion de la Grèce Antique. L'évolution de Rome, Etat-cité, en empire (Etat territorialement étendu etmaîtrede provinces riches et civilisées), par le biais de guerres longues et continuelles (guerres samnites pour le contrôle de l'Italie, guerres puniques) provoqua une transformation profonde et parfois tumultueuse de la structure sociale. (...)
L'intrigue en quelques mots Plusieurs faits mystérieux s'entrecroisent, à savoir l'héritage de Libo Viselus, les mystérieux agissements du marchand grec Adroclès, la mort suspecte du gouverneur de Delphes Libo Visolus, la recherche d'une danseuse témoin du meurtre ou de la disparition de sonmaîtreLibo Viselus. Tout commence avec l'ouverture des jeux devant le temple de Zeus et de Héra, en présence d'une Pythie particulièrement déjantée, avec prières, processions, sacrifices, réception officielle mais frugale où tous sont acceptés . (...)
Très compétent sculpteur athénien, il est également ouvert d'esprit, amical, prêt à une franche discussion amicale, surtout en ce qui concerne sa double passion, la sculpture et les chevaux (tout comme sonmaîtreAristote). Il n'est pas vantard, mais il est probable qu'il parle de ses travaux (un devoir sacré à ses yeux), notamment dans le temple de Déméter à Eleusis, ou à Olympie pour la restauration du temple de Zeus (utilisation d'or, de pierreries et d'ivoire pour rehausser l'image du roi des Dieux à Olympie). (...)
Le gouverneur de Delphes disposait de 50 serviteurs (pour la moitié des esclaves ‘ pour la plupart thrace ou séleucide), commandé par un contremaître qui a pris la place de sonmaîtreen attendant le nouveau propriétaire ou en son absence. Le corps de Libo Viselus a été retrouvé mort il y a six semaines dans l'atrium. (...)
Si un corps est bel et bien enterré, il ne s'agit pas de celui de Libo Visolus, selon les témoignages formels des proches, qui affirment avoir vu le corps de leurmaîtreenterré. Comme à son habitude, il a consulté quelques unes de ses relations, pour affaires politiques ou privées (créances, relations de bon voisinage). (...)
Alertés par le bruit, les serviteurs se sont précipités vers l'atrium, hélas trop tard pour sauver leurmaître, tandis qu'une forme encapuchonnée noire s'enfuyait vers la forêt. Certains se précipitèrent sur leurmaître, hélas déjà mort. Ce dernier tenait un morceau de parchemin à moitié brûlé [rédigé en linéaire A], relatant l'existence d'un complot visant Quintus Caecilius et Titus Didius (les deux consuls de Rome nouvellement nommés) et un mystérieux sceptre en or tout rouillé. (...)
Osiris, quoique furieux ne put rien faire, ce qui provoqua l'amusement de son frère Seth, qui prit sous son épaule Sokar, et l'initia à de sombres pouvoirs. Finalement, il trahit son nouveaumaître, et dû s'enfuir non loin du désert, où il devint le premier héraut d'Apophis. Il s'appropria un temple qui appartenait à Sekhmet. (...)