Le Retour du Pharaon noir
sur Toc : Trouver Objet Caché au format
Le Mythe de Cthulhu est intemporel. Suivant l'exemple des scénarios présentés dans le recueil « Etranges Epoques » et des scénarios Rome Antique et Chine, voici un scénario se déroulant en Egypte et en Assyrie, au cours de la XXVIème dynastie, ambiance momie et grands complots. Si vous avez besoin de conseils ou d'éclaircissements, n'hésitez pas à me contacter sur Internet (edubourg@club-internet.fr). Ce scénario utilise les règles traditionnelles, et non celles de Cthulhu D20. Vous pourrez trouver ...Contient : campement (4)(...) Le prêtre d'Anubis (un homme pour le moins décharné s'appelant Mestnusen) connu de certains sous le sobriquet peu flatteur de « Vieux Vautour Acariâtre » hurle car on a voulu l'exclure. Deux jours après lecampements'établit en rase campagne, tout près de la Mer des Roseaux, et non loin de quelques cités en ruines dont le temps a effacé les noms. (...)
Certains disent que ces ruines dateraient de l'Hérétique, et qu'il est absolument malvenu de s'en approcher. Lecampements'endort, et dans la nuit, tous sont réveillés par un hurlement de loup, ou du moins ce qui y ressemble. Les ténèbres se font menaçantes, et finalement deux gardes (ceux positionnés à l'ouest ducampement) sont retrouvés morts, lacérés et déchiquetés. Personne n'a rien vu, mis à part un homme, Menna (qui est connu pour son penchant pour la boisson) qui aurait vu une créature poilue assez agile beaucoup plus grande qu'un homme et qui aurait disparu vers le nord / nord ouest vers les grottes ou la cité en ruines. (...)
De Samarie à Kadesh (Meggido) : La fuite d'Ekron s'effectue sans trop de problèmes, et le voyage continue, avec son lot de mystères, toujours des hurlements de loup inexpliqués, des créatures rôdant tout autour ducampement. L'expédition quitte les côtes, suivant la route des Troncs, à travers montagnes. Le vieillard refuse d'aller plus loin, et retourne en Judée (pour lui, la Samarie, peuplée d'incroyants, est une région à éviter, tout comme Ekron du reste). (...)