La maison reste ouverte pendant les travaux
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Un scénario destiné à un groupe de joueurs et à un meneur de jeu relativement expérimentés. Les mentions «p. XXXX» font référence aux règles de L'appel de Cthulhu (dernière édition française). Acte 1 : Paris. Introduction des PJ : Paris, juillet 1940. Si vous le sentez, vous pouvez leur faire jouer un ou deux épisodes de la panique de mai-juin (tentatives pour fuir la capitale, premiers contacts avec l'occupant, etc.). Sinon, contentez-vous de leur communiquer les informations historiques ...Contient : autorités (5)(...) Sinon, vous pouvez vous rabattre sur une « erreur d'identité » ou une dénonciation comme « agent anglais » (la préfecture reçoit déjà des sacs entiers de lettres anonymes, qui sont dûment triées et retransmises auxautoritésd'occupation). Avertissement : Ce scénario fonctionnera sans doute mieux avec des personnages ayant déjà vécu quelques aventures. (...)
Montfort a été laissé en arrière-garde avec une quarantaine d'hommes, pour organiser un maximum de sabotages contre lesautoritésallemandes. Il avait aussi pour instruction de liquider Barnier (on ne lui a pas dit pourquoi). (...)
Le but est de faire passer les PJ pour des déments et provoquer leur internement. Si cela ne marche pas, vous pouvez passer à la vitesse supérieure. Lesautoritésinterviennent : « La Grande-Bretagne est toujours heureuse d'accueillir des réfugiés fuyant la barbarie nazie ». (...)
On écoute leurs communications téléphoniques, on ouvre leur courrier, on les suit, etc. Pour l'heure, lesautoritésont décidé de ne pas les arrêter. Mieux vaut comprendre d'abord ce qu'ils trafiquent... Lorsque vous estimerez que les PJ commencent à avoir une image globale de ce qu'ils affrontent (une bande d'espions fanatiques et de sorciers possédant un rituel monstrueusement puissant), ou à défaut lorsqu'ils auront enfreint la loi de manière visible (fusillade avec les agents du S dans les rues, par exemple), faites-les arrêter. (...)
Tout raconter est encore ce qu'il y a de plus intelligent à faire. Etrangement, on ne les enferme pas à l'asile. Lesautoritésprennent deux ou trois jours pour peser leur témoignage, puis ils reçoivent la visite d'un général, qui ne se présentera pas : « Messieurs, j'ai une proposition à vous faire. (...)