Les Lettres de Kratis Gron aux orks de Barsaive
sur Mahar : Les Parchemins de l'Archiviste au format (188 Ko)
Contient : enfants (14)(...) Un trésor qui les rendait si resplendissants... Et, lorsque le mari leur ordonna de quitter sa maison, car il avait besoin d'espace pour vivre avec sa femme et sesenfants, les espions s'enfuirent au loin. Ils se mirent à courir, à gémir, à pleurer de fausses larmes et déclarèrent à leurs familles que les amoureux les avaient attaqué. (...)
Où les maîtres nains de guilde, parce que vous n'êtes pas marié, donnent votre emploi à un autre qui suit les lois de Throal. A Cara Fahd, nosenfantssavaient, qu'où qu'ils aillent, nous prendrions soin d'eux, car les Orks vivent tel une famille et le coeur de chacun porte l'amour des autres. (...)
Des Orks tuaient des Orks pour une haine sanguinaire vieille de plusieurs années. A la fin du jour, chevaux et cavaliers étaient éparpillés tels des jouets d'enfants, gémissant et mourrant sur le sol. Alors que les deux tribus se dispersaient, elles jurèrent que la guerre durerait éternellement, car rien ne pourrait laver leur honneur souillé. (...)
Est-ce Elle que nous appelons lorsque nous sommes immobilisés au sol, étouffant sous la prise, la respiration lourde, la vue embrumée et, parvenant tout de même à hurler à notre adversaire et à la terre entière ? Est-ce encore cette passion qui nous inspire lorsque nous défendons nosenfantsalors que les feux des canons thérans s'abattent sur nos tentes et nos maisons ? Oui. Et, partout dans Barsaive, il en est de même. (...)
Nos légions sont tombées, non pas devant les cinq cents poneys des lanciers du roi de Throal, ni devant les quatre mille maîtres d'armes du Quai des Nuages, mais face à la complaisance. Et, tandis que nosenfantss'installaient dans des cités humaines et naines, nous nous sommes détournés et avons fui, apeurés non par une bataille, mais par notre propre passé. (...)
Dans le grand silence qui suivit la chute de notre royaume, lorsque ses cendres n'étaient plus que poussière dans les arbres des jungles, nos ancêtres murmurèrent à l'attention de Tranko. Cara Fahd n'était pas brisée, son avenir résidait dans sesenfants, lesenfantsde sesenfants, et dans tous les Orks. Pourquoi ne nous sommes nous pas réunis, n'avons nous pas rejoint Cara Fahd où nos ancêtres combattaient fièrement pour défendre la nation qu'ils avaient bâti et un roi qui régnait à leur image ? Pourquoi insultons-nous Tranko, laissant nos familles déshonorées, nos morts sans vengeance ? Pourquoi ne combattons nous pas ensemble afin de reprendre notre nation ? (...)
Et, si vous ne voulez pas me tuer pour ces mots, alors il ne reste véritablement aucun Courage dans le coeur desenfantsde Hrak Gron. Prenez vos armes, oubliez vos différences et montrez à Tranko que les Orks ont du Courage, que les Orks sentent son feu bouillant dans leurs veines. (...)
Chaque fois que vous vous détournez calmement d'un aubergiste qui ne vous permet pas de rester parce qu'il n'a pas confiance en vous, vous êtes un esclave. Chaque fois que vosenfantsparlent en Throalite et non en Or'zet, vous êtes un esclave. Chaque fois que vous mendiez un travail bien en dessous de vos capacités, vous êtes un esclave. (...)
» Pour tous les Orks qui ont été vendus ou achetés par les marchands d'esclave, qui ont combattu pour défendre un royaume où ils n'habitaient pas, je vous le demande. Pour tous les Orks qui ont entendu leursenfantsmaudirent le destin d'être nés Ork, je vous implore. Pour tous ceux qui ont souffert en silence, ou se sont perdus dans la rage, je vous supplie. (...)
Maintenant, il est temps de recréer notre terre, de la reforger avec le sang des Orks, répandu non pour la guerre, mais pour une promesse. La promesse que, pour aussi longtemps que nous, nosenfantset nos petits-enfantsvivront, Cara Fahd sera la maison de tous les Orks, unis dans le changement et l'amour de Blork. Et, nous ne serons plus jamais des esclaves. (...)
Cara Fahd est tombée, et pendant onze cent années, nous avons été frappés par le vent, pas comme des guerriers libres, mais comme desenfantsperdus, car nous avons oublié l'art de bâtir. Nous avons oublié d'en appeler à Jrikjrikjrik et la flamme lente de son gahad, aussi chaude et impitoyable que le foyer du forgeron. (...)Traduction des 4 lettres de Kratis Gron inspirées par les passions, pour réveiller la flamme des orks de barsaive. Aux Orks de Barsaive, Je suis un troubadour, et je vais vous conter une histoire. Bien que vous l'ayez entendu de nombreuses fois depuis votre naissance, je ne pense pas que vous connaissiez cette version. Essayez d'être patient, bien que ce conte puisse vous sembler étrange et, parfois, familier. « Il y a fort longtemps, dans des temps oubliés de l'Histoire, vivaient au centre ...