Organisation : Les Psycholunes
sur Souffre Jour au format (3.3 Mo)
Contient : refuge (3)(...) Bien sûr, plusieurs Harmonistes, principalement les joueurs de cistre, de flûte et de harpe, trouvèrent dans le Collège de Puisame un lieu de rencontre, voire même unrefugedans lequel perfectionner leur art. Ils influencèrent les recherches des membres du Collège et marquèrent de leur vision des choses toute la philosophie de Puisame et les archives du Collège doivent en conserver trace. (...)
Luciel de Libremont et Armador de Guisel, souvent par l'intermédiaire de leurs agents respectifs, se livrèrent dès lors à une guerre secrète mais acharnée, par le biais d'assassinats, d'escarmouches, d'embuscades et de duels, mais plus encore au travers de leurs enquêtes croisées, de vol d'ouvrages poussiéreux, de rapts d'informateurs, de rumeurs et de fausses informations, dans une course éperdue à travers l'Harmonde dont l'enjeu était la découverte durefugede Diurne. Armador de Guisel prit un avantage certain lorsqu'il parvint à inoculer le Maljour à Luciel. (...)
Mais peut-être tout ceci n'est que fable pessimiste entretenue par l'Ennemi et qu'au contraire son Génie constitue une chance inouïe de fonder un sanctuaire au sein de la Province Liturgique ? - La Lueur de la Chapelle de Douceîruine fut privée de sonrefuge(le vitrail) lors de l'attaque contre Luciel. Elle se réfugia dans les reflets sur les verres de ses besicles. (...)Une Histoire des psycholunes : Les origines : " En 1050, une jeune Itinérante de Préceptorale, Héliame de Douceîruine, visite une chapelle de son domaine familial, le petit fief de son père, le Vicaire Oldrof-le- Vieil. Une superstition locale veut que dans cette chapelle, à midi au plein coeur de l'été, quiconque se regarde dans un miroir cerclé d'ivoire placé entre deux bougie y voit apparaître l'âme soeur qui lui est destinée. Héliame, maudissant son tempérament romantique ...