L'impôt de sang
sur Vermine au format (28 Ko)
Ce scénario est le premier épisode de la campagne « Messiah », mais il peut sans aucun problème être joué seul. Il peut convenir à n'importe quel groupe de joueurs. L'action se situe dans le département du Cantal (région : Auvergne, pour les incultes), mais peut facilement être transposé partout en France ou en Europe. Au cours de ce scénario, les joueurs seront amenés à entrer en contact avec une communauté un peu spéciale...pour leur plus grand malheur bien sûr ! Note : Pour rendre hommage à une ...Contient : enfants (3)(...) Si on essaye de comprendre le pourquoi de cette contrariété, les membres du village peuvent expliquer que le protecteur est très attaché à la nature et aux espèces animales du territoire de la tribu, qu'il considère comme lesenfantsde Boka. A la fin de cette soirée quelques personnages pourraient se ressentir légèrement des effets de l'alcool local...Si d'autres n'ont pas abusé et ont le sommeil léger, ils pourront peut-être surprendre une scène curieuse : une silhouette furtive qui se glisse près de leur hutte (prêtée gracieusement) y fait une courte halte puis repart sans bruit. (...)
D'abord lisez dans le document « Personnages et communautés vivant dans la France de 2037 » l'historique de la tribu des Bokas, puis les aides de jeu sur ce scénar et particulièrement les extraits du journal du docteur ARNOT. (C'est que je n'ai pas envie de tout retaper deux fois, moi. Faut pas prendre lesenfantsdu bon dieu pour des cafards sauvages...) C'est bon, vous y êtes ? Bon alors je poursuis. En fait le protecteur est devant un problème majeur ; son stock de « sang contaminé » dont il a besoin pour produire le « haubrugol » qui protège des piqûres de la guêpe mortelle, est désespérément bas (il faut que ce soit du sang humain). (...)
L'expérience à montré que pour un humain de bonne constitution, une infestation peut être considérée comme mortellement dangereuse à partir de 8-10 piqûres (4-5 pour desenfantsou individus de constitution fragile). Il est à noter qu'il suffit d'une dizaine de larves s'attaquant à un organe très sensible (poumon ou cerveau) pour entraîner la mort. (...)