Le Cénacle des Immortels
sur Souffre Jour au format (1.1 Mo)
Seuls les profils des personnages importants sont exposés dans le corps de texte. Les autres sont assimilés à des profils classiques tels qu'on peut les trouver dans les Cahiers Gris, ou dans les différents archétypes présentés dans la gamme officielle Agone, le jeu de rôle d'Heroic Fantasy dans les Royaumes Crépusculaires. GESTE. « La Flamboyance... Ainsi nommée de par l'époustouflante civilisation humaine qui s'épanouît alors en chaque point de l'Harmonde, elle n'en compta pas moins ...Contient : compagnons (5)(...) On a vu, dans le drame du Cénacle des Immortels, comment il a fallu que Rubanne, laquelle embrassait quotidiennement Armandin sans se douter de la supercherie, embroche le visage de peau sur la pointe de son arme pour que celui-ci se détache et mette à jour le monstre qu'il occultait. Devra t'on défigurer tous noscompagnonspour s'assurer qu'ils sont bien eux ? Les Sinistres Faciès : Niveau de Perfidie : 60 à 90. (...)
La Troupe aurait dû rapidement s'éteindre si le premier des sens cachés n'avait été : « Je recherche desCompagnonsd'armes ». Aux frontières urguemandes, Villiamo recruta son actrice fétiche, et près des Monts Drakoniens le talentueux Elornac. (...)
Il serait cependant excessif de prétendre que le satyre ne se complait pas, assis sur sa banquette de bois, à regarder les autres travailler pour lui tandis qu'il fume sa pipe, pensant déjà au scénario de sa nouvelle épopée théâtrale... Sur les planches, il est toujours l'amant floué, celui que l'on délaisse pour s'enfuir avec le prince charmant... Sibylline est la seule femme, et sa tâche est des plus aisées. Hormis conseiller sescompagnonssur la cuisson du souper et les techniques de lavage du linge, elle ne s'occupe guère que du rangement de la carriole et de son propre entretien. (...)
C'est ce qui m'a conduit à la surface, c'est ce qui m'a impliqué avec tant d'ardeur dans le combat contre la Menace. Aujourd'hui, je pense avoir acquis l'estime de mescompagnons. Cependant, mon pouvoir au sein du groupe reste insuffisant pour combler mon ego. Pourquoi devrais-je laisser le commandement à cet insouciant de Villiamo, un satyre à l'esprit déluré qui ne me remémore que trop les Incubes ? (...)
Un jour, j'accèderai à des démons encore plus impressionnants, qui déchireront les ombres comme une galère déchire l'onde, des démons à mon entier service. J'aime me sentir le maître... Ce besoin de reconnaissance, je le retrouve en mescompagnons, qui n'hésitent pas à me féliciter pour les décors que je leur confectionne. Il faut dire que je mets tout mon coeur à l'ouvrage, et que je ne me sens jamais aussi grand que lorsque le public ébahi découvre l'arrière plan de la scène ! (...)