Le Cénacle des Immortels
sur Souffre Jour au format (1.1 Mo)
Seuls les profils des personnages importants sont exposés dans le corps de texte. Les autres sont assimilés à des profils classiques tels qu'on peut les trouver dans les Cahiers Gris, ou dans les différents archétypes présentés dans la gamme officielle Agone, le jeu de rôle d'Heroic Fantasy dans les Royaumes Crépusculaires. GESTE. « La Flamboyance... Ainsi nommée de par l'époustouflante civilisation humaine qui s'épanouît alors en chaque point de l'Harmonde, elle n'en compta pas moins ...Contient : hommes (10)(...) Voilà bien l'un des plus détestables quiproquos de l'Histoire, quand on sait l'indicible ascendance deshommes... C'est en cette période que prend racine le Drame du Cénacle des Immortels. Un vallon verdoyant, dont nul ne sait plus le nom, s'étendait alors entre deux contreforts boisés. (...)
Une partie des plans est conservée dans les archives domaniales, mais la majorité des Le Pont de Solonge : Une Légende... Il y a plusieurs siècles, la vallée était peuplée de fées bienfaitrices. Leshommesles vénéraient comme de puissants esprits, et celles-ci leur apportaient en échange assistance et secours dans leurs tâches quotidiennes. (...)
Sans oublier ce devoir d'éducation si cher à la « salanistre », qui en profite pour distiller ainsi, lentement, son « savoir » dans le coeur deshommes... Ce qu'il veut : La mort, voilà ce que souhaite Alinoa. Ce repos éternel, sa Dame le lui refuse depuis qu'il sait tant de choses, et que son corps et son arbre en ont été affectés. (...)
Floret Vastépine : « Entrez, venez vous rassasier des cadavres empilés d'un monde hors du temps... » Allure : Esprit immatériel, l'Ancien Doyen du Cénacle printanin est toujours vêtu de la simple robe de lin vert qu'il portait lorsque leshommesont lancé l'assaut sur l'Ecrin. A sa ceinture pend une besace lourde de feuilles de papier griffonnées, dernière mémoire de la défunte société saisonine qui s'épanouissait des millénaires plus tôt au creux du doux vallon. (...)
Il eut l'éternité pour se lamenter sur les squelettes blanchis de ses camarades, et vit le nouveau Cénacle s'ériger, pierre après pierre, témoignage de la suprématie humaine. Il ne comprit pas, dans un premier temps, ce que faisaient tous ceshommes, penchés sur des livres ou méditant leurs pensées tout haut. Ce furent les Inspirés eux-mêmes qui, remarquant sa présence, finirent par lui enseigner les secrets d'un Art qu'il ne serait jamais en mesure de maîtriser. (...)
Ce qu'elle veut : Gagner sa vie en épanchant sa soif de luxure, sans être importunée par d'anciens clients ou de mystérieux adorateurs, sont les seules motivations de cette belle saisonine tant prisée par leshommes. Ce qu'elle sait : Perrine est la première à affirmer que les Cycledor trempent dans de bien vilaines affaires, et n'a qu'une faible estime pour ses congénères. (...)
Seul aujourd'hui s'oppose à lui ce maudit « Fantôme », ce lutin ténébreux qu'il ne parvient pas à éliminer, et qui lui a déjà coûté deuxhommes. Il paierait cher pour le voir mort, une dague entre les épaules... Ce qu'il sait : Firmin affirme que son repaire est hanté par les fantômes du passé. (...)
Alors que la troupe vaque à ses occupations (promenade dans les rues, démontage de leur théâtre mobile, assemblage des décors dans le hall du manoir pour la représentation privée,...), une dizaine d'hommescagoulés, aux mains brûlées, se jettent sur eux tous gourdins dehors, dans l'intention manifeste de les assommer (aucun coup mortel n'est porté par les assaillants, qui retiennent à l'évidence leurs armes). (...)
Je ne fais pourtant rien pour leur dissimuler cette occupation... Ce que je sais : Je suis un monstre. La majorité deshommesme considèrent ainsi, et ceux qui prétendent le contraire me paraissent bien hypocrites. Toutefois, cette misérable condition ne me dessert pas en toutes circonstances. (...)
Mes très longs cheveux sombres se déversent en cascade sur mes reins aussitôt que je retire mon feutre à plume, et la coupe de mes habits rappelle parfois celle que les tailleurs appliquent aux uniformes de jeunes pages ou de demoiselles... Il faut dire que mes traits sont si délicats et mes gestes si alambiqués que, si l'on me rasait et me maquillait, je jouerais la parfaite héritière de la bourgeoisie... Je ne cherche pas à séduire leshommes, mais eux se découvrent en ma présence des penchants qu'ils ne se savaient pas ! Histoire : Je suis un baroudeur. (...)