Sauvée des Eaux
sur SCENARS.net au format (750 Ko)
Contient : humains (5)(...) De petite taille, ils ont le pouvoir de s'enfler jusqu'à des formes monstrueuses, ce qui fit croire auxhumainsqu'ils étaient les fantômes des antiques géants. Outre qu'ils sont utilement employés à garder les trésors des collines, les Korrigans sont des bandits infâmes, des voleurs accomplis, des vandales parfois dangereux. Ils sont capables de piller les demeures deshumains, d'enlever des enfants (laissant en échange un horrible bébé korrigan), de lancer des tornades pour détruire les champs, de flétrir les récoltes et de jouer toutes sortes de tours pendables. (...)
Parfois, ils prennent forme humaine pour se mêler à la bonne société. Avec leur puissance magique, il vaut mieux les avoir de son côté ! Leshumainsaussi peuvent utiliser la magie, appelée Thaumaturgie. Ils la pratiquent au sein d'ordres secrets, comme la maléfique Loge de Râ, ou de sociétés publiques comme les Templiers ou les Druides. (...)
Pendant ce temps-là, les Faës continuent leurs jeux immémoriaux : les deux Cours, celle des Seelies, nommée la Cour de Lumière, et celle des Unseelies, la Cour Sombre, s'affrontent depuis des millénaires pour décider du sort de l'espèce humaine. Elles ne peuvent que manipuler leshumains, puisqu'elles sont toutes deux liées par un Pacte qui les empêchent de s'en prendre directement à ceux-ci, grâce à Auberon, le roi de la Cour de Lumière. (...)
S'il n'y avait pas le fer, et encore plus le Fer Froid, mortel pour ces créatures, et leurs tabous étranges et toujours différents comme le sel, les vêtements portés à l'envers, ou encore les symboles religieux, leshumainsne seraient sans doute que des jouets entre leurs mains. Je vis deux tours, l'une le miroir de l'autre. (...)La submersion de la ville d'Ys, telle que les Seigneurs Dragons la racontent : Vers l'an 500 de notre ère, le roi Gradlon régnait sur la Cornouaille. Il possédait une puissante flotte qu'il aimait opposer aux navires de ses ennemis. Un jour, une de ces campagnes le mena dans de lointains pays du Nord. Errant seul dans la steppe désolée, il aperçut une femme aux longs cheveux roux, blanche comme le clair de lune et vêtue d'une cuirasse ruisselant de la lumière de l'astre. C'était Malgven, Reine ...