Traditions & Us et coutumes médiévales Japonaises
sur Terres Mythiques
Contient : porter (7)(...) Il est très impoli de poser le katana garde en avant, de manière à ce qu'elle soit face à l'hôte, car cela laisse entendre qu'il est trop maladroit avec cette arme pour s'en emparer et constituer un danger. Il est impoli de la part de l'hôte deporterdes épées lorsqu'il reçoit un invité, mais elles se trouvent généralement non loin de là, sur leur râtelier. (...)
Parmi les Buke, il existe une courtoisie spéciale dans le port et le maniement des deux épées, une marque de rang. Tous les hommes de la caste des Buke ont le droit deporterun Katana et un Wakizashi, le «Daito» et le «Shoto». Portés ensemble, cette paire d'armes est appelée le «Dai-sho» Tout insulte faite à l'épée est une insulte au porteur de l'arme et ne peut être vengée que par l'utilisation de l'épée. (...)
C'est un signe d'intention pacifique, car dégai-ner en «Iaijutsu», une attaque soudaine, est impossible avec l'arme dans cette position.Porterl'épée avec te tranchant vers le haut est la position normale d'utilisation. Prendre l'arme et la tour-ner en position de combat, en abandonnant la position «paisible», est considéré comme un geste de défi. (...)
Cela obligera le seigneur à s'humilier fréquemment et le ralentira d'autant ... Les voyageurs ont le droit deporterun wakizashi lorsqu'ils vont d'une ville à l'autre. En ville, ils doivent laisser leurs armes à l'auberge ou l'attacher de manière à ce qu'elle ne puisse être dégainée brusquement. (...)
Les lois et codifications somptuaires : Les lois somptuaires des Tokugawa couvraient à peu près n'importe quel type de dépense. Les samouraïs n'avaient pas le droit deporterde soie violette sans la permission de leur seigneur. Les roturiers n'avaient pas droit du tout à la soie. (...)
En pratique, les gens riches trouvaient toujours des moyens de dépenser leur argent sans attirer l'attention du gou-vernement. Un otokodate pouvaitporterun kimono de coton vert, avec une fine bordure de soie rouge cerise. Aux époques difficiles, le gouvernement se servit des lois somptuaires pour diriger la colère du peuple sur les riches marchands et, en particulier, les prêteurs sur gages. (...)
Cela veut dire aussi que, même si l'heïmin ou l'eta se fait convoquer par les autorités locales pour enquête, il ne sera pas inquiété outre mesure parce que ce samouraï n'était finalement pas digne deporterson titre. Cependant, si un climat de révolte couve et si les samouraï estiment que c'est un affront fait à la caste des samouraï toute entière, il se peut qu'ils condamnent l'heïmin (généralement une condamnation à cette époque était presque toujours un arrêt de mort). (...)Le Mon : est l'équivalent occidental du blason. Il est mis sur les armures des guerriers et sur le kimono des vassaux de la famille. Sur les champs de bataille, les guerriers ont toujours des drapeaux dans leur dos pour montrer son appartenance et éviter la confusion. De bonnes manières : L'haleine : les gens polis ne souillent pas de leur haleine les personnes d'un rang supérieur au leur. Il en va de même des femmes vis à vis des hommes. C'est pourquoi les japonais ...