Les Carnets de Yasminabad : l'oasis de Yasmina
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Contient : conseil (6)(...) Le collège des hauts intendants : Comme nous l'avons vu, il existe dans l'AlAlaeddine comme dans l'Al-Lakhdar des wazirs dont la mission est d'assurer la prospérité de l'oasis. Réunis en unconseildit des hauts intendants, ils officient, au nombre de six, en tant que maîtres des actions marchandes et politiques à Yasminabad. (...)
La guilde de Yasminabad existe depuis près de mille ans et compte aujourd'hui parmi les entreprises commerciales dont la puissance est connue d'un bout à l'autre de Jazîrat. Dirigée par unconseilde vingt-six marchands se réunissant traditionnellement hors les murs de la ville et ne prenant ses réunions qu'autour d'un brûloir d'encens à la façon des bédouins, la guilde est faite de contrastes. (...)
La médina Al-Alaeddine, ville de l'Ouest : Surnommée la ville du « juste prieur », l'Al-Alaeddine n'a pas de prince, pas d'amir, pour la gouverner. Trois écoles de magie traditionnelle saabi se partagent le pouvoir, chacune étant dirigée par unconseildes sages. Les trois conseils servent de conseillers personnels au grand kahini Jelim Ibn Aziz Abd-al-Salif. Contrairement aux wazirs attachés à la politique extérieure et commerciale de la cité, ceux duconseildes hauts intendants, ces wazirsci sont attachés à la politique interne, à la gouvernance de l'Al-Alaeddine elle-même. (...)
La place des mages de l'école est quelque peu décalée. Pour eux, pas de règne, pas de sentiment de supériorité ni de seigneurie. Unconseildes anciens se réunit chaque soir sur les toits du palais pour débattre des problèmes insolubles et juger les criminels, mais pour le reste, c'est aux habitants du quartier de s'organiser entre eux, d'assurer l'ordre et la sécurité dans les rues. (...)
L'école des gardiens des gouffres : Cette partie de la ville est ce qui ressemble le plus à une cité saabi gouvernée par une noblesse d'arme. Ses nobles mages portent tous d'égale façon le grimoire et le sabre. Leconseildes sages de cette école opère une autorité stricte de gouvernance et d'imposition. La hiérarchie de l'école se reporte sur la ville : les conseillers règnent tels des rois, en dessous d'eux les prêtres-enseignants sont autant de princes et de ministres auxquels obéissent les élèves tels les nobles cadets d'une école militaire. (...)Histoire : La légende de Yasmina. En 2501, deux frères saabi, tous deux proches neveux du prophète Hassan, tombèrent amoureux de la même femme. Celle-ci était si belle qu'on la prétendait inhumaine, sans doute issue de l'amour d'un homme et d'une déesse. C'était le temps où les dieux marchaient encore sur la terre, cela paraissait possible. Yasmina, c'est ainsi qu'elle se nommait, était danseuse dans une petite oasis située dans l'un des endroits réputés pour être les plus dangereux ...