Les automates rêvent-ils de moutons à vapeur ?
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Contient : palais (3)(...) PROLOGUE : LA PLUS BELLE VILLE DU MONDE Paris, mai 1889. ' L'Exposition Universelle battait son plein et sur les bords de Seine se massaient despalaisaux audaces baroques, castels et pagodes brillant de mille feux, fantaisies exotiques agglutinées les unes contre les autres comme au sortir de quelque rêve baroque. Plus loin, la masse des gigantesquespalaisde fer où s'entassaient par milliers les machines et les inventions les faisaient ressembler à d'énormes monstres de métal assoupis. (...)
(...) L'immense tour Eiffel dont l'élégante silhouette s'élevait au-dessus de la ville comme un trophée de splendeur trônait face aupalaisdu Trocadéro, flanqué de ses deux campaniles. La grande demoiselle de fer ! Comme elle était belle et radieuse et fière au-dessus de cette mer de verre et de métal, comme elle brillait dans la nuit, sous les feux croisés des projecteurs installés aux quatre coins de la ville ! (...)Ce scénario se déroule quinze à vingt ans après l'époque habituelle de Château Falkenstein. Durant cette période, les inventions et les progrès technologiques furent légion et il serait fastidieux de les énoncer tous. Néanmoins, pour les besoins de l'histoire, il est indispensable de préciser que dirigeables, aérocars et automotives sont désormais des moyens de transports courants en Nouvelle Europe. PROLOGUE : LA PLUS BELLE VILLE DU MONDE Paris, mai 1889. ' L'Exposition Universelle battait ...