A qui ai-je l'honneur ?
sur La Cour d'Obéron au format (482 Ko)
Contient : clients(...) Des PJ observateurs, ou au fait des avancées techniques, n'auront pas de mal à comprendre le procédé de maître Tekin pour faire apparaître les fantômes de défunts chéris : d'habiles jeux de fumée, de lumières et de miroirs, et probablement la projection - par une trappe ménagée dans le plancher - de la silhouette d'un(e) complice se tenant à l'étage inférieur, formant ainsi une illusion d'optique qui satisfait les plus crédules de ses «clients». Mme Pears se rend chaque semaine chez maître Tekin pour parler avec son mari, comme depuis des années, lui demandant des conseils pour l'aider à élever sa fille Morgana (même si celle-ci vole de ses propres ailes). (...)Cette aventure, dans laquelle les personnages des joueurs ne courront pas après quelque relique aux pouvoirs transcendants ou à l'inestimable valeur, part du principe que les PJ ont de la bonne volonté pour se plonger dans une affaire « sociale », et que les joueurs apprécient de se laisser parfois porter par les événements. Pour que l'aventure fonctionne, il peut être intéressant que le groupe des PJ comprenne à la fois des Occidentaux et des Turcs, de préférence appartenant ...