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sur La Cour d'Obéron au format (262 Ko)
Contient : maître (10)(...) La tr ès officielle lettre provient d'un office notarial et reste bien mystérieuse : « Madame/Monsieur (selon le PJ), Je vous prie de bien vouloir vous rendre en mon étude, le 17 octobre 1901, à 18 heures, afin d'y venir prendre connaissance de faits vous concernant. Cordialement,MaîtreGlénard, Notaire, 13 rue Fontaine, Paris ». A cette étrange convocation, ils vont tous répondre présents, à n'en pas douter. Et c'est ainsi que tous se retrouvent, l e 17 octobre au soir, dans le vestibule deMaîtreGlénard, sous l'oeil vigilant d'Irène, sa secr étaire. L'heure du rendez-vous arrive, passe et la porte du bureau du notaire reste close. (...)
Et, de fait, un corps est étendu dans la cour de l'immeuble, quatre étages plus bas : il est arrivé malheur àMaîtreGlénard. Et, comme par un malicieux hasard, deux policiers à bicyclette arrivent au coin de la rue. (...)
Malgré les cris d'Irène, horrifiée, il serait bon que les personnages gardent un peu de sang-froid et jettent un oeil au bureau deMaîtreGlénard. Quelques indices peuvent y être glanés qui, on ne sait jamais, pourraient s'avérer utiles : -un mot griffonné à la hâte sur du papier, posé sur le bureau du notaire. (...)
L'établissement est fermé, pour cause de travaux et ne rouvrira ses portes que quelques jours plus tard [on pardonnera auMaîtrede Jeu d'user d'un tel artifice, mais ce restaurant est le théâtre de la scène finale]. Enquête au passé (peu) simple : Le mot, écrit en pattes de mouche, contient le message suivant : « Je suis de retour. (...)
Si les personnages poussent l'enquête plus loin et réussissent à avoir accès aux archives judiciaires, ils découvriront qu'Andreati a été défendu par un jeune avocat, nommé... Glénard. Il est facile de découvrir qu'il ne s'agit pas d'un homonyme et queMaîtreGlénard officia autrefois comme avocat, avant de se reconvertir dans la charge de notaire. La clé du mystère : En toute logique, les PJ devraient chercher à trouver ce qui se trouve dans le mystérieux petit coffre-fort du notaire. Malheur eusement, ils ne disposent pas de la clé qui permettrait de l'ouvrir... En toute logique,MaîtreGlénard devait disposer de cette clé, puisqu'on a choisi de lui expédier la boîte. Les personnages vont sans doute retourner le bureau deMaîtreGlénard en vain, avant de se retourner vers Irène pour savoir où est cette clé. Interrogée habilement, elle finira par dire qu'elle a remarqué que son employeur portait effectivement une clé, accrochée à une chaîne autour de son cou. (...)
Le coffre contient quelques coupures de journaux (relatant le massacre, puis le jugement (expéditif) d'Andreati, et enfin son exécution), mais aussi, dans une enveloppe, une médaille représentant un ange et une lettr e adressée datée de 1890 et adressée au notaire : « CherMaître, tôt ou tard, vous aurez besoin de mes services, pour échapper à une menace venue d'outre-tombe. (...)
Ce jour là, muni de cette médaille, contact ez-moi. Zadkiel ». Le mystère s'épaissit autour de la mort deMaîtreGlénard, puisque ce message venu du passé fait référence à un certain Zadkiel. Les personnages les plus au fait des croyances religieuses (et plus particulièrement l'angéologie) sauront que ce nom désigne l'archange chargé de rendre la justice au nom de Dieu. (...)Vous ne vous êtes jamais demandé comment on entrait au Club Pythagore ? Comment Caton et Sénèque pouvaient recruter les futurs membres de cette association pas comme les autres ? Ce scénario est prévu pour être le premier que vivront des personnages de Mal éfices. Idéalement, il peut être utilisé pour initier de nouveaux joueurs, sur une courte séance et permet d' enchaîner sur tout autre module plus « classique » faisant intervenir le Club Pythagore (« Une étrange maison de poupées ...