Marais Nostrum
sur La Cour d'Obéron au format (272 Ko)
Contient : communauté (9)(...) Les réfugiés y ont donc installé des guetteurs (dans les semaines et les mois qui viendront, ils préviendront plus d'une fois lacommunautéexilée de l'arrivée de bandes d'humains animés de l'intention manifeste d'en découdr e avec tous les durulz qu'ils pourraient croiser lors de leur expédition, ce qui incitera plus d'un durulz à aller s'installer plus profondément dans le marais). (...)
Le reste de la population s'est installé dans le fort ou dans des campements de fortune à son pied, et certains ont commencé à essay er de mettre en valeur le sol de l'île : il est trop tard pour espér er une récolte suffisante pour que lacommunautésoit à l'abri des disettes hivernales, mais il est encore possible de limiter les dégâts. La principale source de subsistance de lacommunautéreste la pêche, comme en témoignent les nombreuses barques que les personnages devinent dans la pénombre en débarquant sur la terre ferme. (...)
(alors que Rodin, par contre, fera des palmes et des mains pour en faire partie et aller étudier de pr ès la flore du marais) Mais les personnages ne sont pas les seuls à s'intéresser à ce temple : un groupe d'humakti (mixte humains / durulz, mais avec une forte prédominance des humains quand même) se trouve lui aussi au sein de lacommunautéde l'Ile du Guet, et ils sont venus là dans l'intention de se lancer dans une quête h éroïque à partir dudit temple (Jalmar étant un sous-culte d'Humakt). (...)
La plupart des durulz rencontrés avec lesquels les personnages r éussiront à établir des relations correctes avoueront cependant leur ignorance et conseilleront aux personnages de se rendre au Puisard (Sump, DP p 57, ToRM 19 p 38 ), la plus importantecommunautédurulz au sein du marais. Evidemment, il se peut aussi qu'en suivant les indications fournies par un durulz visiblement coopératif et bien renseigné, les per sonnages et leur escorte tombent en fait dans une embuscade tendue par des hors-la-loi durulz. (...)
La population de ce port étrange est importante, de l'ordre de trois cents durulz, ce qui en fait lacommunautédurulz la plus nombreuse de tout Sartar ! (ceci est vrai au moment du scénario ; mais le Puisard ne se rel èvera jamais du coup terrible que lui assènera la rafle menée par l es 'cartographes' lunars (si les per sonnages parviennent à éviter cette rafle, lacommunautése dispersera quand même), et ne sera plus à l'avenir qu'une gigantesque décharge, tel qu'il est décrit dans ToRM 19) Organisés pour vivre en autarcie au fond de leur marais, les habitants du Puisard n'ont que très peu de contacts avec les durulz des nids al entour, et pour ainsi dire aucun avec ceux qui vivent hors du marais. Il s'agit d'unecommunautéqui vit hors du temps... hors de Glorantha pourrait-on presque dire. Même ses traditions religieuses sont archaïques (chose que les personnages pourraient mettre à profit pour obtenir des éclairages 'd'une autre époque' sur les mythes qui les intéressent tout particulièrement, ce qui tourne autour d'Arkat (que les autochtones appellent Arkouat et qu'ils décrivent eux aussi comme un durulz) et de ses compagnons ; le MJ pourrait en profiter pour leur glisser quelques indices (éventuellement subtilement déformés) qui pourraient s'avérer utile dans la suite de la campagne ; mais que nos h éros n'en attendent pas des miracles, car les traditions du Puisard datent dans le meilleur des cas d'un peu plus de trois siècles seulement). (...)
Le vilain petit Canard : En interrogeant les habitants (ce qui va probablement leur prendre plusieurs jours, durant lesquels ils seront hébergés par les durulz, sinon avec enthousiasme, du moins probablement avec une r elative bonne volonté, mais pendant lesquels il vaudrait mieux qu'ils ne se posent pas trop de questions sur la nature des r epas qui leur seront servis), les per sonnages, à condition de ne pas brusquer leurs interlocuteurs, de rester courtois et de tout faire pour minimiser la différence de taille et de carrure pouvant exister entre un aventurier humain et un durulz d'unecommunautéà fort taux de consanguinité, finiront par dénicher Berron Unepalme (qui se présente lui-même comme étant Berron Fléau des Zombies), un vieux durulz unijambiste parkinsonien qui, d'une voix chevrotante et difficilement audible, leur racontera son histoire. (...)Un scénario «très grand format», où les personnages, tous humains, sont au service d'un vieux durulz boiteux aux multiples particularités surprenantes, et à la recherche d'un mystérieux héros à plusieurs visages, dont une prophétie obscure prétend qu'il jouera un rôle dans la guerre des Héros qui s'annonce. Ce scénario est destiné à s'insérer dans une grande campagne épique de haut niveau couvrant une vingtaine d'années de l'histoire gloranthienne, amenant les PJ (qui ont, même s'ils l ...