Romeyro doit mourir
sur Eastenwest
Contient : objet (5)(...) Au chevet des amants pauvres la grande mort a remplacé la petite. Les personnages ne manqueront pas de remarquer unobjethétéroclite sur le sol de la mansarde crasseuse, répandant son contenu poudreux, une petite boîte en ivoire incrustée de bois et de métal précieux, arborant la marque distinctive des de Perluette. (...)
Il s'agit en effet de la ' boîte à secrets ' de Romeyro dans laquelle il stockait sa poudre de licorne et dans laquelle son agresseur a déposé quelques grains de la mortelle substance (Ce qu'une LECTURE D'OBJETconfirmera.). Sur la scène du crime la jeune Nilweln n'a pas perdu tout son sang-froid et a dérobé le belobjetavant de donner l'alarme. La renommée de la poudre de licorne n'est plus à faire, elle est malheureusement hors de prix et donc hors de portée des petites gens. (...)
A l'Université des Désirs Terrestres on forme les artistes du sexe de demain, pas ses artisans, et encore moins on ne brade un orgasme à la petite semaine bon pour la ménagère des bas quartiers ! Non, ici sexe et plaisir font l'objetd'une véritable science ! Laissons aux personnages le soin de trouver un bon prétexte pour pénétrer l'enceinte sacrée mais précisions tout de même qu'il leur suffira de dire la vérité sur Romeyro pour être entendue de la doyenne et grande Maîtresse Naldwyn de Fontanay. (...)
Il n'est pas exclu qu'après cela il trouve à la revendre à un richissime amateur plutôt que de la mettre en service à son propre compte... Habituée à être regardée comme unobjetde luxe depuis sa plus tendre enfance, c'est un être particulièrement superficiel et spontané. (...)Ce scénario a été écrit pour les Terres Balafrées et plus particulièrement pour la ville de Shelzar. Il sera néanmoins rapidement adaptable à tout autre univers. L'histoire débute à la manière d'un vaudeville dans les alentours champêtres de la cité du vice, se poursuit sur le même ton léger dans les méandres de Shelzar, et s'achève enfin sur une note plus sombre dans les profondeurs de la ville. - A Epicure, je ne te connais pas mais tu me fais bien marrer Il fait beau ce matin ...