Cannes, dernière !
sur Eastenwest
Contient : signes, signés (3)(...) Le cortège se dirige tranquillement vers les quartiers commerçants voisins. Autour de Brigitte Cajot, les gardes du corps montrent dessignesde faiblesse. Ils titubent légèrement, regardent paresseusement autour d'eux et semblent avoir de nombreuses heures de sommeil à récupérer. (...)
Evidemment, tous les stylos contiennent du sang. Dans la salle des archives, des boîtes d'archives contiennent les copies des contratssignéspar les victimes. Une observation attentive permettra de se rendre compte qu'ils diffèrent des ' originaux ' retrouvés par exemple chez Amélie ou Brigitte : une petite bande en bas du contrat présente sous une apparence de frise un texte microscopique dans lequel le signataire engage son âme à sa mort en la donnant au diable. (...)
Le texte précise que l'âme transitera par un ' purgatoire inversé ' avant d'être envoyé en enfer. Là encore, les contrats sontsignésavec du sang. Enfin, dernier lieu intéressant : le bureau du directeur contient une seule chose importante : des notes manuscrites qui expliquent comment ouvrir un passage dimensionnel vers une marche intermédiaire baptisée ' Viager '. (...)
' Requin ' type (étudiants au service de Kolvyn) AG : 2 PR : 1 VO : 2 AP : 2 PE : 2 FO : 2 Talents : Commerce 0, Esquive 0, Corps à corps 0 ACTE IV : LA MARCHE DES RETRAITES... Dans l'hypothèse où les joueurs parviennent à mettre la main sur les contratssignéset sur le rituel d'ouverture de la marche (que Kolvyn oubliera dans sa fuite, s'il y est contraint), les joueurs vont certainement prendre leur courage à deux mains pour aller exécuter le rituel d'ouverture vers le viager. (...)Des âmes sont en danger ? Pas de problèmes, les anges sont là... ce scénario pour un petit groupe plutôt subtil (Ahem...) va mener les joueurs dans le sud de la France, dans la ville passionnante de Cannes. Une tragi-comédie en quatre actes pour Magna Veritas. PROLOGUE Décor : la guérite du gardien, paradis. Dans un coin, un ordinateur allumé, deux individus en grande discussion. Près de la porte, scrutant nerveusement le portail, un troisième homme attend sans rien dire. Jean : Si je te le ...