Mimosaville
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Contient : vêtements (4)(...) Il ne restera d'eux qu'un tas gluant, gargouillant et poilu. C'est alors qu'apparaîtra Steve. Il a lesvêtementsdéchirés et couverts de sang. Il tient un kärcher rempli à moitié d'un liquide rose fluo. Il proposera alors aux PJs de l'accompagner chez lui. (...)
Le vigile passe devant plusieurs magasins, balayant les vitrines avec sa lampe torche. En passant devant un magasin devêtements, il semble entendre des bruits suspects et décide donc d'entrer pour voir ça de plus près. (...)
Jusqu'à ce qu'une jeune fille entre en hurlant : « Oh mon dieu il a tué Bobbyyyyyyyy!! » Elle est en effet poursuivie par le shériff, lesvêtementscouverts de sang. Il tient à a main une matraque elle aussi ensanglantée. Au moment où il la lève pour frapper une victime au hasard, un rayon de lumière reflété par la boule disco qui tourne au plafond vient le toucher aux yeux. (...)
En face de la télé, on trouve un être humanoïde de couleur gris-rose à la peau très fripée en train de dévorer ce qui ressemble à un bras humain. Il porte pour tousvêtementsdes morceaux de tissu déchiré (le truc rose, pas le bras...). Fidèle à ses habitudes le générique nous présente un survol de Mimosaville sur lequel le titre du film vient s'inscrire en lettres sanglantes. (...)L'HISTOIRE DE LA SAGA : La saga Mimosaville débute en 1953 avec Un monstre dans la ville, dans une tranquille bourgade américaine située à une centaine de kilomètres de Sodaville. Cette bourgade sans histoire se retrouve attaquée par un monstre un peu radioactif et pas très beau à voir. Lors de sa sortie, le film passe dans un premier temps inaperçu. En effet, il n'apporte pas grand-chose au genre naissant du « film-qui-fait-peur ». Pourtant, assez rapidement, la bouche-à-oreille ...