Le vieil homme qui dévorait les dieux
sur Deadcrows Studios au format (23 Mo)
Contient : fin (14)(...) De plus, il fait lâcher le griffon et le minotaure par un faux cavalier saabi, le kraken par un templier et le cyclope par un prêtre escarte. Le plan n'est pasfin, pasfindu tout, mais les moyens étant là, en quelques heures, il va plonger Sagrada dans le chaos. La légende du Dévoreur de dieux : Le Dévoreur de dieux est une légende, un mythe. (...)
Il pensait y mourir, au milieu d'un espace vide de toutes formes de vie. Pourtant, arrivé à ce qu'il crut être lafindu monde, il trouva la cité abandonnée (cf. CAPHARNAUM : L'Héritage des dragons, p. 49, Le palais abandonné). (...)
Parce que destiné à vivre mille ans, cet homme puise son immortalité dans l'essence même des 1001 dieux. En cettefinde cinquante-cinquième siècle, cependant, pour la première fois, les dieux ne vinrent pas détruire la ville et gracier les afreeti. (...)
Ils passent la journée et la soirée à écumer les tavernes et les bordels de la ville, ou vont prier leurs dieux pour les remercier de lafinheureuse de leur dernière mission. Le lendemain aux aurores, l'un des Héritiers est réveillé par un tambourinage sur la porte de sa chambre. (...)
La discrétion est de mise, l'entourage de la reine ne veut créer aucun scandale, c'est pourquoi Mashmëon a immédiatement pensé à des amis « indépendants » tels que les Héritiers, plutôt qu'à quelque groupe d'influence shiradi qui aurait immédiatement mis le feu aux poudres... ces gens-là sont un peu sous pression depuis lafinde la guerre. Mashmëon prie l'Héritier de réunir ses amis et de le retrouver, avec eux, à l'ancien palais dans l'heure qui suit. (...)
La garder en vie, et lui laisser un semblant de pouvoir officiel, participe à la stratégie de Bastavda pour contenir les Shiradim. La guerre n'aurait en effet probablement jamais prisfinsans cet accord entre les Escartes et la reine. La ville est aujourd'hui aux mains des Escartes, mais il suffirait d'un mot de la reine pour que Sagrada s'enflamme à nouveau. (...)
Devant leurs portes, des hommes supplient qu'on mette un terme à tout cela, implorent leurs agresseurs de les pardonner de ce qu'ils n'ont pas fait, supplient qu'on épargne leurs enfants, leurs femmes.... D'un point de vue chronologique, tout cela monte crescendo vers lafinde matinée, trouve son apogée enfinde journée et ne prendrafinqu'avec l'intervention d'Hélicandre et Farah ou avec l'occupation du Krek'Kaos. Lancer 2D6 2 : L'un des Héritiers est pris à parti par un Sagradène d'un autre peuple que le sien. L'homme est d'abord juste insultant, puis, selon le comportement de l'Héritier, commencera à lui jeter des pierres. (...)
Ce qui se passe aujourd'hui est sans commune mesure : quatre monstres ont été introduits dans la cité et vont faire de terribles ravages. Vous trouverez leurs fiches techniques à lafindu scénario, mais voici les éléments pour les mettre en scène. Comme vous le remarquerez, l'administration escarte fait preuve d'une totale incapacité à gérer cette crise. (...)
Pourtant, il vaincront sans doutes, emportés par quelque élan divin : dès qu'il approcheront du Migdash Arishdon ils se sentiront curieusement animés par une passion justicière, un élan guerrier pur. Chacun verra alors son niveau d'Héroïsme augmenter ! Ce bonus est acquis jusqu'à lafinde cette aventure (Augmentant ainsi sa Trempe, ses jets de Caractéristiques, son maximum de Vantardises, etc. (...)
Ils sauront que les communautés commencent à se dresser les unes contre les autres, s'accusant mutuellement d'attentats. Ce n'est qu'enfinde journée, voire durant la nuit suivante s'ils se sont investis dans la lutte contre les afreeti, alors qu'ils auront une vision globale des diverses attaques, qu'ils apprendront que Farah Bint Soufrate Al-Jamila a été enlevée. (...)
Epilogue : Nahr Goshend et le peuple inhumain. Le lendemain du jour où les Héritiers auront trouvé lefinmot de l'histoire (pour des raisons purement romanesques nous centrons la progression de l'intrigue sur vos joueurs, Al-Rawi), une masse noire apparaît à l'horizon du levant : une armée de dix mille barbares. (...)Lorsque Tiamat mourut, de son sang naquirent les Premiers djinns, et de ses larmes mêlées au sable du désert, naquit l'argile morte, une terre grise aux propriétés étonnantes. Si elle n'a pas les capacités et la résistance de l'orichalque, l'argile morte est à ce point liée à la nature même des Premiers djinns, qu'elle est d'une certaine façon devenue leur point faible. Les porte-bonheurs faits d'argile morte repoussent les afreeti comme la peste effraie les hommes. Les tablettes faites ...