Smaug sur Érébor
sur La Cour d'Obéron au format (36 Ko)
Le but du présent ouvrage n'est pas de replacer précisément (ce serait œuvre de trop de complication) l'ensemble des événements entourant la chute de Smaug sur Érébor, mais seulement de donner quelques frissons à des personnes - peu importe leur niveau - se trouvant dans les rues de Dale durant cette nuit fatidique. Ce qui suit n'est donc pas formulé afin de représenter avec toute l'exactitude possible la réalité historique de l'événement, mais est posé dans une forme donnant le plus d'occasions ...Contient : nain (5)(...) Puis, des volées de carreaux viendront s'abattre sur le poursuivant, l'obligeant à prendre de l'altitude et à s'éloigner de la porte. Une détachementNainen arme occupe le hall d'entrée, ils sont au nombre de cents, environ, et tous acclameront les personnages, leur chef les introduira jusqu'au Roi sous la Montagne, que certains connaissent déjà quelque peu personnellement, sans plus. (...)
) Avant tout, il sera remis aux personnages un uniforme aux couleurs de cette garde (allez-y selon vos goûts), un marteau d'excellente qualité (il n'y a pas d'autre choix d'armes, ce marteau confère un bonus de + 10) ainsi qu'un lourd bouclierNain(+35 au BD, + 20 contre les projectiles), et finalement, une superbe cotte de maille Naine faite d'un savant alliage (+ 20 au déplacement. (...)
» Il la compagnie, silencieuse depuis une semaine sur route, sera tout aussi silencieuse durant leur séjour, jusqu'à atteindre la métropole des Monts, là oùNainest maître (à cette date, Dain II (plus tard surnommé Ironfoot), fils deNain, est âgé de trois ans.) Les personnages assisteront à l'entretien en temps que personnes de confiance, de raison et d'honneur. (...)
« Thròr, fils de Dain I mon grand-père, mon Roi, sache que ton peuple est le bienvenu ici, et qu'il en sera ici tant que la Maison de Durin en sera une et unie... » «Nain, cher neveu, il m'est impossible de rester ici dans ta maison. Si jamais je possède encore quelque Royauté, alors je trouverai un Royaume où les miens pourront me rejoindre. (...)