Campagne "les Portes de Salem" : Quelque part dans
une ville-ateliersur Les Portes de Salem au format (84 Ko)
Ce scénario fait suite à « Epiés et surveillés ». Les PJ devraient avoir quitté Terraine, emmenés par la police ou fuyant celle-ci. Synopsis : Déportés par la police, ou fuyant Terraine, les PJ vont être amenés ou atteindre l'un des 15 villes-atelier qui sillonnent la Sostrie sur son vaste réseau ferroviaire en pleine expansion. De là, ils y vivront quelques péripéties et feront la connaissance d'un réseau contestataire. Celui-ci leur proposera une mission qui les mènera jusqu'à la Porte ...Contient : ville (7), atelier (7)Campagne "les Portes de Salem" : Quelque part dans uneville-atelierCe scénario fait suite à « Epiés et surveillés ». Les PJ devraient avoir quitté Terraine, emmenés par la police ou fuyant celle-ci... [Détails]Vivre en Exil
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La société exiléenne : Façonné par l'histoire si particulière de sa cité, l'esprit exiléen peut sembler déroutant à un étranger mal préparé. L'exiléen doit combattre quotidiennement la peur originelle de l'obscurité, qu'il commue en farouche croyance envers Administration et l'Ingénierie qui régulent sa vie et ne laissent pas de place, selon lui, au hasard. Aspirant à la liberté, il a toutefois du mal à étouffer en lui le souvenir que sa cité est basé sur la rébellion, celle de ses ancêtres ...Contient : ville (37), atelier (3)...Scientistes ou posèrent la première pierre du corps actuel des Ingénieurs civils, dédié à la croissance de laville. Cela dura jusqu'à l'époque où pour faire face au progrès de leur cité, les Patriarches... [Détails]Indépendant exiléen #1
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Contient : ville (8), atelier (3)...disparitions se succèdent dans le haut quartier des grandes familles pourtant l'un des plus sûrs de laville(votre dévoué serviteur en sait quelque chose pour en avoir souvent été expulsé manu militari... [Détails]Un mot de notre directeur : C'est avec un plaisir non dissimulé que je vous livre ici notre cinquième compilation annuelle. Bien entendu, le choix fut diffi cile, parfois déchirant : notre Indépendant vit au rythme du souffl e d'Exil, et c'est avec la même fi erté quotidienne que je me saisis du premier exemplaire sorti des rotatives. Il n'y a pas, à mon sens, de « petites histoires » ou de « nouvelles insignifi antes ». Notre cité vit, respire et frisonne et notre journal s'en veut ...