Sous les Pavés
sur Hugin et Munin au format (2.8 Mo)
Contient : communautés (13)(...) Présentation : Face à la concurrence qui sévit dans les rues de Paris et devant la menace de la vermine, descommunautésont choisi de quitter la surface et d'utiliser les souterrains pour se déplacer ou pour y vivre. (...)
De plus, les cavités proches de la surface sont souvent des abris occupés, soit par la vermine, soit par lescommunautésqui ont adopté un mode de vie à mi-chemin entre la surface et le sous-sol. Une fois que l'on a trouvé un point d'accès vers les niveaux inférieurs et mieux préservés du soussol, deux choses deviennent indispensables : de la lumière et un plan. (...)
Sans indications ou matériel pour passer certains obstacles, il est parfois nécessaire de remonter à la surface. Lescommunautéssouterraines, démunies de cartes fiables et des ressources pour en dresser de nouvelles, se contentent en général d'exploiter une petite portion du réseau, isolée du reste du sous-sol sauf en quelques points servant aux échanges et aux affrontements. (...)
• La guérilla envahit les catacombes : Prédateur +1. A l'unanimité : Humanité -1, Vermine +1. • Lescommunautésparviennent à maintenir une paix relative : Symbiote +1. A l'unanimité : Humanité +1, Vermine -1. (...)
Nourriture : Les souterrains offrant très peu de moyens de ressource, seul l'élevage et la culture permettent de subsister en sous-sol. Il existe très peu de végétaux sous terre, mais lescommunautéssouterraines ont recours à deux cultures. Le champignon de couche dit "de Paris" est cultivé en cave sur des matières organiques en décomposition sur lesquels il puise l'eau et les éléments nécessaires à sa croissance. (...)
Là, elles sont placées dans l'humidité, l'obscurité et la chaleur pendant 3 semaines pour donner les endives propres à la consommation, permettant ainsi à la communauté d'obtenir des légumes en plein hiver malgré l'absence de lumière. L'élevage fournit auxcommunautésles plus organisées la viande nécessaire à leur survie : les clapiers à lapins sont les plus fréquents, mais on trouve aussi une curieuse race de cochons albinos. (...)
Enfin, la chasse permet de ramener de la viande de rat. Les chauvesouris ne sont jamais mangées malgré leur nombre, la superstition descommunautésvoyant dans ces insectivores des alliés de l'homme. Elles fournissent par contre un guano fréquemment utilisé dans la culture des champignons et des endives. (...)
La guerre des rats : La vie des cataphiles, malgré sa rudesse, semble idéale au regard des conditions qui règnent dans un Paris dévasté par la vermine et les guerres tribales. Mais l'équilibre entre lescommunautéschthoniennes est fragile. Parmi les points de litiges, il en est un qui concerne les rats. Alors que ceux-ci sont pour les habitants de Zion[4] des compagnons et des symbiotes, les autrescommunautésles chassent autant pour préserver leur territoire que se procurer leur viande. Loin d'être anecdotique, ce problème cristallise les crispations idéologiques rigides des humanistes et des adaptés. (...)
Les tunnels parisiens vont-ils devenir le théâtre d'affrontements violents, entre des adaptés proches de la vermine, et descommunautésrefusant de céder leur ultime refuge ? Est-il possible que cohabitent descommunautésaux idéologies divergentes, alors que l'entraide est une obligation pour survivre ? Dans un environnement aussi confiné, l'escalade de la violence conduirait de part et d'autre à une guerre d'extermination, mais une cohabitation pacifique ne peut se concevoir que si lescommunautésfont des concessions aux principes à la base de leur cohésion... Les joueurs votent pour : •La guérilla envahit les catacombes. •Lescommunautésparviennent à maintenir une paix relative. Références au Livre du Meneur : [1] ch. 1.6 "La vermine" p114. (...)Cette aide de jeu officielle approfondit la description du sous-sol parisien du chapitre 5 du Livre du Meneur de Vermine, "L'Europe d'aujourd'hui". Sa lecture est nécessaire pour profiter du scénario de ce numéro. Présentation : Face à la concurrence qui sévit dans les rues de Paris et devant la menace de la vermine, des communautés ont choisi de quitter la surface et d'utiliser les souterrains pour se déplacer ou pour y vivre. Le sous-sol parisien est en effet dense et complexe, et se ...