Bloodlust : Du sang et des (l)armes
sur Black Book Edition au format (892 Ko)
Contient : elfes (3)(...) ) est occupé par plusieurs peuplades (souvent en guerre les unes contre les autres, d'ailleurs) aux cultures très différentes. Pas d'elfes, de nains ni d'orques, ici : ces anciens peuples ont tous disparu, après avoir bâti de grands empires, dans un cataclysme cyclique qui intervient régulièrement tous les 20 000 ans. (...)
A cela s'ajoutent deux « peuples » particuliers : les Alwegs, parias exclus des autres peuples, et les Hysnatons, êtres étranges portant les gènes des anciens peupleselfes, nains ou orques, et au corps marqué par cette ascendance. On l'aura compris, l'univers de Bloodlust s'écartait résolument du médiéval-fantastique classique : inspirations antiques plutôt que médiévales, absence de dieux (mis à part les « armes-dieux » elles-mêmes), extrême rareté de la magie (qui ne subsiste qu'à travers les pouvoirs des armes-dieux, des épices batranobanes et des traditions de quelques shamans gadhars). (...)
- Joyaux de Pôle : la description de la ville de Pôle, capitale des Derigions. - Contes et légendes : des informations sur le passé de Tanaephis, et notamment sur les empireselfeset nains. - Frères de la nuit : la description du continent et des changements survenus quinze ans après la fin d'Eclat de Lune. (...)En cette année 1991, alors que les vampires néo-gothiques punks s'apprêtaient à déferler sur nos vertes contrées, les alchimistes fous de chez Siroz mettaient au point l'un des succès les plus retentissants du jeu de rôle français. Bloodlust était son nom, et celui-là aussi claquait au vent de la destruction comme un étendard funeste... Tout beau tout chaud : Né du cerveau du célèbre Croc, auteur prolifique de jeux à « concept », Bloodlust fit l'effet d'une petite bombe dès sa sortie, grâce ...