Le Journal de Pochikalaan
sur Chez Demehet au format (158 Ko)
Avant propos : Plus que de révolutionner la littérature française, les pages qui suivent entendent être un récit fidèle des péripéties de quelques héros en un monde nommé Glorantha. Cependant, encore faut-il s'entendre sur le sens du mot « fidèle ». C'est pourquoi l'auteur tient à préciser que certains passages, tant pour des besoins d'écriture que de cohérence du récit ont du être un peu « revu » par rapport aux faits qui furent réellement joués. Néanmoins, que les protagonistes de cette histoire ...Contient : cadavres (4)(...) Les arbres, les fils et les araignées avaient été indifféremment calcinés, rognés, brûlés par de l'acide. D'innombrablescadavresd'araignées couvraient le sol. Derrière nous, de la fumée s'échappait déjà de sous la porte de la tour. (...)
Dehors, un spectacle d'une sauvagerie inouïe nous attendait ; tous les Lunars de la garnisons gisaient ça et là, déchiquetés ou défigurés. Descadavresde Crocs de Krarsht se mêlaient aux leurs et déjà des rapaces commençaient leur sombre festin. (...)
Aucune douleur, toutes les blessures qui m'avaient enlevé la vie avaient disparu ! Je regardais autour de moi. Sur une quinzaine de mètres de nombreuxcadavresjonchaient le sol, des Lunars... La plupart des corps étaient criblés de flèches mais quelques-uns étaient éventrés, brûlés ou décapités, témoignant du combat acharné que nous avions livré avant de succomber. (...)
Ceux qui n'avaient pas été pris pour cible ou qui parvinrent à échapper à nos flèches n'avaient d'autre choix que de tenter de sortit du gouffre. Ils furent accueillis pas des lames. Rapidement, tout le corps expéditionnaire fut anéanti, lescadavresrejetés de là où ils venaient tandis que nous repartions en courant vers les fortifications. (...)