Gadhars - Une étude complète
sur Le Ludiste
Paroles recueillies en 823 après Néinnes auprès d'un esclave Gadhar de Pôle. Extrait de ' Les histoires du Pays d'où je viens ' par Julianus Pirius, ethnologue Dérigion rédigeant un travail récréatif sur les légendes Gadhars. On nous appelle les Gadhars, mais on nous refuse ce que ce mot même signifie... On nous enferme dans des camps ou des arènes, on nous utilise et on vante nos mérites... comme on parle d'un chien de compagnie... On discute dans les rues des mérites des gladiateurs à la peau ...Contient : proximité (2)(...) Ainsi, de nombreuses tribus n'hésitent pas à dévorer des parties du corps de leurs victimes, comme le coeur, le foie ou le cerveau, ou bien à conserver une partie de leur corps : par exemple les organes génitaux, les cheveux... Ces traditions se rapproche des comportements des Scories (les troupes d'élites d'hysnatons monstrueux) et sans doute trouvent-elles les mêmes origines (voir le culte du sang dans Souvenirs de guerre, page 59). Dans ce type de tribus, les sorciers habiteront àproximitéd'un autel ou d'un totem de reliques, matérialisant la puissance du clan et de ses guerriers. (...)
La durée du chant sera fonction de l'importance des soins, dans les cas les plus critiques, le rituel pourra durer une nuit entière voire plus d'une journée... durant cette période, le sorcier tente de rassembler le fluide (jet sous Manipulation du fluide) et le canalise vers le site du rituel. Enfin, au fur et à mesure que le fluide est canalisé àproximitédu sorcier, celui-ci pratique ses soins sur le blessé, il peut aussi s'aider d'herbes médicinales ou d'épices. (...)