Histoire officielle des Guerres de Greyhawk
Les philosophes disent que les conflits trouvent toujours leur origine dans la convoitise - du pouvoir ou de butins. Ceci est peut-être vrai pour les quelques petites guerres et autres raids frontaliers qui firent l'histoire de Tærre. Toutefois, le grand carnage qui marqua ces dernières années ne saurait s'expliquer simplement par la seule convoitise. En effet, ce furent plutôt l'alchimie complexe des passions ...Contient : rebelles (4)(...) Quand Almor se rebella, l'Empereur contre-attaqua avec violence démontrant toutes ses affinités avec les démons. En s'appuyant sur une aide infernale, les armées impériales défirent lesrebelles. Malgré l'état d'affaiblissement de l'empire, Almor ne put supporter la furie diabolique de la Garde Compagnionne12 avant que Nyrond envoie de l'aide. (...)
Sa force grandissante, l'Empereur n'attend plus qu'une excuse pour reformuler ses exigences aux paysrebellesde l'ouest. Le Père de l'Obéissance Le troisième et peut être le plus important des personnages intervenant dans cette guerre tragique est aussi sans nul doute le plus mystérieux. (...)
Il y avait quelques temps que l'Empereur courtisait les humanoïdes de la Marche aux Ossements, et ces tribus agressives et primitives venaient juste de répondre favorablement à sa proposition d'alliance après qu'il leur eut promis une bonne part du butin qu'ils pilleraient ensemble plus tard. A cette nouvelle, Ivid prépara la guerre dans ses propres terres et incita ses cousinsrebelleset indisciplinés à faire de même. La Province du Nord, sentant le vent tourner, se rallia à la cause de l'Empereur29, pensant qu'Ivid, s'il n'était pas un ami sur, serait très certainement un ennemi des plus affreux. (...)
La défense de Rourk avait stoppé l'avance orque et une fois de plus le Despote du Pomarj cessa ses attaques, cette fois-ci pour retourner au Pomarj s'occuper de chefs orquesrebelles. D'autres conquêtes attendraient. Turrosh Mak arrêté, les états d'Ulek se préparaient à contre-attaquer mais même unies leurs armées étaient trop faibles. (...)