Le Paradis Perdu
sur Mister Frankenstein au format (155 Ko)
Cette aventure débute en France, dans le Jura, et se développe entre lac et forêts en plein territoire Suisse. Les personnages rencontrent une jeune fille amnésique puis découvrent l'étrange contenu de son appareil photo : une série de clichés qui va les emmener en quête d'un lieu paradisiaque, promesse d'un Eden où les hommes peuvent vivre en harmonie avec la nature. Parallèlement, ils seront confrontés aux agissements d'un chercheur ayant perdu la raison et aux créatures qu'il vénère ...Contient : vermine (6)(...) Son corps était couvert de plaques semblables à celles faites par des orties et il avait d'importantes démangeaisons. Il voulait savoir s'il était possible de devenir un temple vivant pour lavermineet souhaiter héberger des créatures en son sein pour atteindre un statut physique et spirituel supérieur. (...)
C'est dans ce bunker nommé Eden que durant plusieurs années, une communauté de scientifiques Fondateurs ont étudié lavermineenvironnante et le moyen de la combattre. Ils étaient une vingtaine. Parmi eux, le docteur Sanson - le directeur des recherches -, Bastien - l'assistant de Sanson - et les Moreaux - un couple de chercheurs. (...)
Ses deux dobermans, Silex et Roc, ont disparus et son aîné s'en est allé. Si les personnages la questionnent à propos de lavermine, elle pourra leur parler des créatures des bois, de grosses fourmis que l'on peut rencontrer en descendant près du lac. (...)
C'est le portrait robot d'un homme se trouvant sur la photo n°2, un grand homme fin et barbu aux yeux bleus. Il disait se prénommer Sanson et souhaitait être logé. De même, il disait étudier laverminepour mieux la comprendre et il désirait bénéficier de l'aide d'un apprenti, en contrepartie de quoi, il fournirait du matériel pour la communauté (sacs, ustensiles, réchauds, etc). (...)
A quelques heures d'ici, aux abords du Lac de Joux, vivent des scientifiques mais, depuis que la forêt est infestée par lavermine, ils n'ont plus donnés signe de vie. Par contre, personne ne sait où ils habitent précisément. (...)
Par ailleurs, l'endroit est loin d'être idyllique, au contraire même : la forêt est beaucoup plus dense, formant une véritable jungle d'arbres, aucune construction humaine n'est visible à l'horizon et si l'endroit est effectivement un paradis, ce n'est sûrement pas pour les humains mais pour lavermine... Toujours est-il que l'abri antiatomique se trouve là, dissimulé derrière les conifères, dépassant à peine du talus, l'écoutille fermée. (...)