L'antre des maîtres d'armes
sur L' Oeil Noir au format (1.5 Mo)
Contient : sang (6)(...) L'amulette en forme d'oeil qu'il porte sur la poitrine semble aussi regarder fixement tous ceux qui l'observent. A côté de lui se tient un Azaraï de Zirraku vêtu d'une robe rouge-sang; ses cheveux aux reflets rouge-sangégalement révèlent sa qualité de Maître d'Armes. Le juge Dicunja'Ibrito va se placer à la gauche du Lord. La couleur de ses cheveux révèle aussi sa qualité de Maître d'Armes. (...)
Il engage alors ses quatre libellules de combat, des bestioles de la longueur d'un bras, qui sont assoiffées desang(pour les valeurs, cf. « Le Livre des Règles ») et se jettent sur toutes les personnes présentes, sauf sur leur maître. (...)
Si, parmi les Héros, il y en a un qui aimerait posséder un fendoir pour se battre, il lui faudra gagner l'arme au combat et non pas la prendre plus tard au cours d'une perquisition dans les temples. En mourant, l'Azaraï de Zirraku lance la malédiction suivante à son meurtrier « Que monsangretombe sur toi ! » A la suite de cette malédiction, le meurtrier de l'Azaraï sera condamné à « voir rouge » chaque fois qu'il apercevra une tache rouge-sangqui lui rappellera la robe de sa victime. Une ivresse sanguinaire s'emparera de lui et il se mettra aussitôt à attaquer sans distinction toutes les personnes qui l'entourent. Il ne se calmera qu'après avoir versé une certaine quantité desang(y compris le sien) ou perdu connaissance. Cette malédiction peut le poursuivre jusqu'à la fin de sa vie, si rien n'est fait pour la neutraliser. (...)Dans « L'Antre des Maîtres d'Armes », nous présentons une aventure très souple dont le déroulement obéit à une logique stricte. Elle doit permettre à des Héros hors du commun de déployer librement leurs capacités et de les mettre à l'épreuve. Aussi abandonnons-nous la méthode habituelle : ici, les antécédents, l'aventure proprement dite et la conclusion forment un tout, au lieu d'être nettement séparés et faciles à percevoir grâce aux explications fournies par le Maître de Jeu. Quelques lignes à ...