Cantique du Dragon
Écoute la chanson du sage s'égrener des cieux Comme une pluie de larmes Balayant la poussière des ans qui recouvre La saga de Lancedragon Du fond des âges, par-delà les souvenirs, A la première aube du monde, Quand trois lunes émergèrent du giron de la forêt Les dragons superbes et terribles Déclarèrent la guerre au monde de Krynn. Alors des ténèbres où règnent les dragons, Des cris s'élevèrent, appelant la lumière. Sous la lune noire lovée dans le ciel Une lueur s'alluma en Solamnie ...Contient : ténèbres (4)Cantique du Dragon Ecoute la chanson du sage s'égrener des cieux Comme une pluie de larmes Balayant la poussière des ans qui recouvre La saga de Lancedragon Du fond des âges, par-delà les souvenirs, A la première aube du monde, Quand trois lunes émergèrent du giron de la forêt Les dragons superbes et terribles Déclarèrent la guerre au monde de Krynn. Alors desténèbresoù règnent les dragons, Des cris s'élevèrent, appelant la lumière. Sous la lune noire lovée dans le ciel Une lueur s'alluma en Solamnie. (...)
Invoquant les Forgerons-lanciers, il employa Leur puissance légendaire pour écraser l'ineffable Démon, repoussant lesténèbresdévorantes Au fond de la gueule du dragon. Paladine, dieu suprême du Bien, assiste Huma. Il arma de ses pouvoirs son bras de lancier Et Huma, brûlant de l'ardeur de mille lunes Renvoya la Reine desTénèbres, Flanquée de son cortège hurlant Au royaume de la mort, où leurs maléfices Rejoignirent le plus profond du néant Sous les cieux lumineux d'une contrée radieuse. Dans le fracas du tonnerre s'acheva l'Ere des Rêves. (...)
Dans les livres, il chercha des chemins pour Huma, A l'affût d'un message, d'un signe, d'une malédiction, Pour en appeler aux dieux, invoquer leur aide, Dans l'accomplissement de sa mission sacrée : Bannir le péché du monde. Puis survint l'Ere desTénèbreset de la Mort, Les dieux se détournèrent du monde. Un éclair de feu traversa Istar comme une comète, La ville éclata tel un crâne dans les flammes, Les montagnes surgirent à la place des vallées fertiles, Les mers furent avalées par les montagnes, Laissant des déserts de lamentations. (...)