Oni soit qui mal y pense…
sur Asmodée au format (271 Ko)
Contient : insectes(...) - Effets physiques sérieux : · les os commencent à se déformer et à s'épaissir, empêchant certains mouvements et donc l'utilisation de certaines compétences ; · une espèce de mousse noire apparaît sur la peau et provoque des démangeaisons permanentes ; · des plaies et des marques rouges ressemblant à des brûlures font leur apparition ; · les yeux se voilent ou les vaisseaux sanguins explosent, obscurcissant la vision ; · les lèvres se rétractent sur les gencives ; · les gencives enflent, saignent et commencent à pourrir ; · les yeux, le nez, la bouche, les oreilles et les lèvres saignent ; · les cheveux tombent ; · crises de tremblements incontrôlables ; · apparition de plaies douloureuses ; · apparition de boutons purulents pleins de sang, de pus, d'araignées ou d'insectes, d'asticots, etc. - Effets physiques graves : · la peau du nez commence à tomber en lambeaux, laissant apparaître les fosses nasales ; · apparition de doigts, d'orteils, de membres, de tête, d'oreilles, d'yeux et de dents ayant subi d'horribles déformations et mutilations sur des parties du corps où ils n'ont rien à faire ; · déformations de la colonne vertébrale (apparition de bosses dans le dos) et graves déformations du squelette et du crâne ; · apparition d'énormes renflements sur tout le corps ; · la langue pourrit et part en lambeaux ; · les poumons commencent à pourrir, rendant ainsi la respiration plus difficile ; · les yeux quittent leur orbite, laissant deux trous béants au fond desquels brille une mystérieuses lueur verte ; · la peau part en lambeau au moindre contact ; · les doigts et les orteils commencent à se souder les uns les autres. (...)Une histoire de famille : Le samouraï se tenait droit, presque rigide, face au vent ; face à lui, l'esprit pervers de celui qui fut autrefois l'honorable Jiuketsu s'agitait en tous sens, avec sur le visage un air tantôt narquois tantôt pervers : « - Tu ne peux me résister, petit Hojitsu, je le sais. Cesse de te faire passer pour celui que tu n'es pas ! » Un tressaillement quasiment imperceptible du samouraï fit sourire l'esprit : « - Ah ! Je te reconnais mieux maintenant. Alors, as-tu bien ...