Oni soit qui mal y pense…
sur Asmodée au format (271 Ko)
Contient : prisonnier (4)(...) Le premier problème fut résolu par l'utilisation de Moto Hojitsu comme espion au sein du Crabe : il n'eut pas la volonté suffisante pour résister et Oni-no-Jiuketsu apprit l'existence d'un passage secret qui menait directement au coeur des forteresses frontalières. Il se trouva en outre que le maho-tsukaï étaitprisonnierd'une de ces forteresses. Il suffisait donc d'attaquer celle-ci en particulier. Un messager parvint toutefois à quitter la forteresse avant l'assaut et à prévenir le seigneur Hida Teruko, qui envoya immédiatement un groupe d'éclaireurs en avant d'une armée pour renforcer la place forte assiégée. (...)
Les Kuni vous ont maintes fois contés les exploits des représentants de cette famille et leur respect est un gage suffisant à vos yeux. La forteresse : En plus d'être proche du tombeau, la forteresse abritait unprisonnierd'un genre particulier : un mahotsukaï. Il n'est pas dans vos attributions de le capturer (les chasseurs de sorciers Kuni sauront très bien le retrouver tôt ou tard). (...)
C'est pourquoi les Kuni ont envoyé un messager non seulement au seigneur Hida Teruko, mais aussi à votre seigneur Yogo Hitemo lorsque la forteresse a été attaquée. Ceprisonnierpeut détenir des informations précieuses et, si l'opportunité se présente, vous devrez faire en sorte de l'interroger (si tant est qu'il soit encore vivant ; ce qui est probable puisque les créatures de Fu Leng aident régulièrement les adorateurs de la maho). Nul ne doit apprendre le rôle exact de ceprisonnier(les Kuni devraient d'ailleurs être sur sa piste) et si vos compagnons venaient à faire sa rencontre, ils ne doivent pas apprendre qui il est vraiment. (...)Une histoire de famille : Le samouraï se tenait droit, presque rigide, face au vent ; face à lui, l'esprit pervers de celui qui fut autrefois l'honorable Jiuketsu s'agitait en tous sens, avec sur le visage un air tantôt narquois tantôt pervers : « - Tu ne peux me résister, petit Hojitsu, je le sais. Cesse de te faire passer pour celui que tu n'es pas ! » Un tressaillement quasiment imperceptible du samouraï fit sourire l'esprit : « - Ah ! Je te reconnais mieux maintenant. Alors, as-tu bien ...